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C'est la suite de la série sur les suites et les séries commencée ici 2) La suite arithmétique Une suite arithmétique est une suite dont tous les termes sont espacés d'un nombre constant appelé la raison de la suite (on note la raison "r"). La définition par récurrence d'une telle suite est alors triviale : un+1 = un + r On peut définir cette suite explicitement à l'aide de l'expression suivante : un = u0 + n*r où u0 est le premier terme de la suite, et r est la raison. La suite utilisée dans l'exemple de la partie 1) est une suite arithmétique de raison 2 et de premier terme 1. 3) La suite géométrique Cette suite est similaire à la suite arithmétique, à la différence que pour passer d'un terme au terme suivant, on multiplie par un nombre constant appelé la raison de la suite et noté q. La définition par récurrence demeure triviale : un+1 = un * q De la même façon, on définit explicitement cette suite par : un = u0 * q^n où u0 est le premier terme et q est la raison. Exemple : soit la suite définie par u0=3, u1=6, u2=12, u3=24... On suppose que la progression de la multiplication par deux continue à l'infini C'est donc une suite géométrique, de premier terme 3 et de raison 2. Sa définition explicite est : un = 3 * 2^n
Bonjour!! Je suis désolé d'avoir élaboré un titre si trompeur. Aujourd'hui, je ne parlerai ni des séries télévisées, ni de leurs séquelles. Je veux parler des suites mathématiques et des séries mathématiques I) Les suites 1) Définition française et mathématique Une suite c'est un objet mathématiques qui représente un enchaînement d'éléments tous de la même nature qui ont un ordre précis (chaque élément a un rang) Nous rétrécirons nos explications aux suites numériques, c'est-à-dire dont les éléments sont des nombres Nous allons par convention désigner la suite par la lettre U. Pour désigner la suite tout entière, on écrit (Un). Pour désigner un terme de cette suite, on ne met pas de parenthèses. Le troisième terme de cette suite est alors U3. Pour définir une suite, c'est-à-dire exprimer la logique de ses termes, on peut employer deux méthodes -La définition explicite : on associe, à chaque terme, une fonction simple à calculer qui nous donne la valeur de ce terme. On écrit par exemple que pour tout n, on a Un = 2n + 1. On peut alors rapidement calculer n'importe quel terme. Le septième terme vaut 2*7+1 = 15 -La définition par récurrence : on définit un terme en fonction de son terme précédent, et on définit un premier terme (il faut bien commencer quelque part). On écrit par exemple que Un+1 = Un + 2 et U0 = 1 2) La suite arithmétique j'ai la flemme de continuer
Bonjour J'ai remarqué qu'il était à la mode en ce moment de publier des articles sans queues. Je ne finis pas souvent mes phrases Comme j'ai souvent publié des histoires débiles, vous devinez bien sûr que j'ai des prédispositions pour écrire de la merde. Alors je pense que ce ne sera pas une grosse difficulté pour moi de m'adapter. Même si mon plus gros concurrent Johnny est de taille, je ne me laisse pas abattre. Sachez d'ailleurs que j'adore manger. Vous savez depuis que j'habite en région parisienne, je suis vivant, et je trouve ça plutôt cool
Bonjour ! Aujourd'hui PokéTerra a 9 ans. Voilà, je n'ai rien d'autre à dire. Alors, je vous entends déjà venir : "Oui, mais c'est pas suffisant, il faut 500 caractères, blabla, on va venir tout nus chez toi pour manger tes morts" OUI ! C'est vrai, et c'est pourquoi je souhaite mettre en place un accord de paix entre tous les membres de PokéTerra. Je l'appellerai originalement l'OTAN : L'Organisation Trop Aimable et Neutre. Cette organisation permettra à tous les PokéTerriens de venir avec moi pour manger beaucoup de choses :] Vous savez, dans ma vie, je rencontre beaucoup de français qui me disent que j'ai raison. Et vous savez, ils ont raison de dire que j'ai raison ! Je pense que la philosophie ne devrait plus être enseignée, car l'enseignement qu'on nous prodigue ne semble pas s'approcher d'une réelle philosophie comme il était coutume de pratiquer en Grèce antique, mais plutôt de brefs rappels du passé réprimant la pensée. Tous les cours de philosophie de tous les élèves de Terminale seront remplacés par des cours de stratégie Pokémon à partir du lundi 15 mai 2015. Et l'épreuve du baccalauréat sera également remplacée par 4h de confection de jus d'oranges. J'ai beaucoup apprécié le dernier livre de Black_Kistune intitulé "Désarroi ou pomme ? La vie n'est qu'un étang". La meilleure critique sociale qu'il m'ait été donné de lire en 10 heures. Par conséquent, j'aimerais que Phelwyn lui cède son rôle d'administrateur. Aujourd'hui vous gagnez 3x plus de Terra$. Au revoir.
Albert était un petit camembert héritier d'une famille riche et hautement classée dans la noblesse du pays des fromages. Il habitait dans un grand château en croûte de fromage, dont l'architecture reflétait l'opulence des propriétaires. Le problème, c'est qu'Albert, qui avait l'habitude de se balader dans les bas-quartiers de la ville, se constituait un entourage de personnes issues de classes moyennes. Quand ses parents l'apprirent, ils l'éjectèrent purement et simplement du château. Albert se retrouva à la rue, condamné à mendier. Il mendia donc. Dans le métro, devant les distributeurs de monnaie, devant les petits commerces, il se faisait tout le temps remballer tel un pauvre clochard insignifiant. Un jour, alors qu'il avait réussi à accumuler une certaine fortune (environ 37 euros), il décida de s'acheter un billet d'avion pour la Thaïlande. Il prit alors l'avion, mais son avion s'écrasa à la frontière entre l'Inde et le Bangladesh. Albert, rescapé, se retrouva au milieu d'une tribu aztèque (Oui en Asie...), dont les membres le menaçaient de le tuer s'il ne se mettait pas tout nu. Alors Albert le petit camembert se mit tout nu, ce qui fut facile pour lui car il était déjà tout nu, et il échappa au décès. Les membres offrirent l'hospitalité à Albert pour une semaine. Au bout de 3 jours, Albert ne pouvait plus supporter leur mode de vie, et il décida de s'enfuir. Après avoir jeté quelques rapides coups d’œil aux arbres alentour et malgré quelque stimulus incongru comparable à une démangeaison, il prit ses jambes à son cou et disparut dans la forêt vierge. Il rencontra un castor qui s'appelait Hector. « Bonjour, dit Hector, ravi de te rencontrer ! -Oefeozih uhfz ph zbe euioriio ooooi, répliqua Albert, sûr de lui. » Le problème, c'est que les castors et les camemberts ne parlent pas du tout la même langue. Du coup, Albert décida de le tuer. Hector mourut. La police Indienne fut rapidement informée du meurtre et Albert finit sa vie en prison. FIN.
Bonjour Mes très chers amis pokéterriens, sachez que cette phrase sert à meubler pour atteindre les 500 caractères. Comme vous le savez, il y aura un tournoi MK8D prochainement pour l'anniversaire de Poketerra, et il manque des joueurs (on est 6 au max pour le moment). Je voudrais vous dire à tous d'acheter des Switch ainsi que mario kart 8 deluxe pour pouvoir jouer avec nous. Merci. C'est important de célebrer les anniversaires au sein d'une communauté. Ça permet de faire le deuil du passé et s'ouvrir vers un futur rassurant. Faites-moi confiance. Et comme disait Mao, 我很喜欢吃狗。
Je vais vous raconter l'histoire de Jean-Luc, un petit tabouret de soixante-cinq ans qui avait une passion inédite : les portes. Il aimait toutes sortes de portes : les portes en bois, les portes en pierre, celles avec poignée, celles qui coulissent, les portes automatiques... toutes. Tous les jours, il satisfaisait son esprit en se rendant dans différents bâtiments de la ville de Grenoble, chacun ayant une porte différente. Il jouissait beaucoup de ça. Un jour, le vingt-sept septembre mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit à sept heures du matin, Il se réveilla comme tous les matins. Il but son café à l'urine de Pikachu puis il se mit en quête de nouveaux types de portes pour assouvir sa soif de culture. Etant un féru de sa ville, il décida de visiter une autre. Il se rendit alors à la gare de Grenoble, et il prit un TGV pour Paris Bercy. Il arriva à la gare de Paris trois heures et vingt-six minutes après le départ. Tout d'abord, il est inutile de préciser qu'il fut plus qu'abasourdi par la manière dont étaient conçues les portes du train, si bien qu'il passa tout le voyage dans le hall à regarder la porte s'ouvrir et se fermer incessamment. Arrivé à Paris, il se rendit dans une boulangerie et commanda une chocolatine Un pain au chocolat, et c'est à ce moment qu'il découvrit le sens de sa vie. Il fut pris par une forte envie de collectionner les mégots de cigarettes qu'il trouvait sur les trottoirs. Il abandonna totalement sa fascination pour les portes, afin de consacrer l'entièreté de son temps à l'accumulation de restes de cigarettes. Mais il se dit qu'il était préférable d'exercer son loisir dans une autre ville. C'est ainsi qu'il prit la décision de se rendre en Bretagne. Il se rendit à la gare de Paris Montparnasse et pris un TGV, mais s'y étant pris trop tard, il dut attendre trois semaines. Je ne vous détaille pas le non-envoûtement que les portes du train exercèrent sur lui. Le voyage dura trois heures et vingt-huit minutes. Il arriva à la gare de Guingamp comme prévit le panneau d'affichage qu'il avait fixé durant tout le voyage. Une fois le pied sur terre, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il découvrit la non-présence de mégots au sol! Sa déception fut terrible. Si terrible qu'il s'affaissa et plongea dans un sommeil sur la route. Les passants l'agonirent de crachats et d'insultes car il n'était pas très joli. Il mourut noyé par la pluie et car il ne se réveillait pas, son choc ayant été trop brutal. Jean-Luc disparut, sa mort ne fut pas officialisée, et son cadavre fut dévoré par les fourmis. Morale de l'histoire : on dit pain au chocolat, pas chocolatine.
Bonjour :) Aujourd'hui je vais vous raconter l'histoire de la crevette qui croyait qu'elle était morte.