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____Bonjour, bonsoir, tout dépend de l'heure à laquelle vous lisez ces lignes. Aujourd'hui, je suis présent afin de vous révéler que Pokémon n'est pas pour les enfants, car Pokémon fait peur, car Pokémon a tué des gens, car Pokémon est un jeu érotique ! Attention, je vais maintenant vous lister mes arguments :
Bien le bonjour. Cet article sera le dernier qui soit sérieux dans toute cette histoire. Mais je le poste juste pour les de Noct' en fait. :: Prologue :: "Depuis toute petite, j'aime l'histoire de Cendrillon. Pour des raisons ressemblantes à celles de cette histoire, je me suis retrouvée dans le même cas que cette peuvre Cendrillon. Pour moi, je n'obtiendrai liberté qu'en me battant. Je suis une BLOODY CINDERELLA." Une jeune fille au cheveux rouges sang et aux yeux du démon Ragnarock deviendra une nouvelle Cendrillon qui reprendra sa liberté par la force. :: One o'clock :: Aujourd'hui, le roi a convoqué toutes les jeunes femmes du royaume à aller au bal du château. Bien évidemment, ma belle mère et les deux sottes qui me servent de belles-soeurs m'ont laissée ici, dans cette cuisine sale, pour que je fasse "le ménage". Mais d'où je suis leur femme de ménage moi ? ... Je ne pense pas que j'aie trop le choix... Sinon je finirais dans la rue. Je lève le balais que j'ai entre les mains, le retourne à l'aide de trois doigts de ma main droite, le positionne contre ma hanche droite puis le fais glisser vers l'avant comme si je retirais une épée de son fourreau. D'ailleurs, quand avais-je appris à me servir d'une épée, déjà...? Ah oui... C'est vrai... Je me souviens... Je n'avais pas d'amis à cause de mon sale caractère et je me battais toujours avec les petits garçons de ma classe. " - Allez ! Qui est le suivant ?! - Euh... Je crois qu'on devrait s'en aller... - J'avoue... Elle est pas normale. T'es sûr que c'est une fille ? - Beuh un travesti ! - Arrêtez de dires des conneries et venez vous battre bande d'imbéciles !!" Le soir, en rentrant de l'école, il n'y avait que maman à la maison. C'était le seul endroit que je trouvais chaleureux et où je me sentais bien. Après l'école, c'était le seul moment où je ressemblais vraiment à une petite fille de mon âge. Maman avait une voix douce, tendre, et c'était aussi la plus belle femme du village. Elle avait de magifiques yeux et cheveux de la même couleur que celle des fleurs rouges dans les champs un peu plus loin. Sa main chaude et ses doigts fins carressaient mes cheveux et ma joue jusqu'à ce que je rejoigne mes rêves. Elle marchait gracieusement avec ses jambes longues et fines. Maman était appréciée de tout le monde, contrairement à sa fille têtue, capricieuse, effrontée... Le sourire de maman était le plus beau du monde. " - Maman... sniff... Je ne comprends pas pourquoi je n'arrive pas à avoir des amis... - Tu sais, Kao', tu ne peux pas avoir des amis parce que tu le demandes simplement. - Snirf... Oui... Oui mais... snirf... Les autres disent que je suis bizarre et les garçons disent que je ne suis pas une vraie fille... - Kao', tu es un fille très jolie, gentille et intelligente. Je suis sûre que tu pourrais avoir beaucoup d'amis. Tu es très forte pour te défendre, mais si tu te retenais un peu de te battre, les gens viendraient sûrement beaucoup plus vers toi. - Sniff... D'accord maman !" Le sourire de maman me séchait mes larmes et sa voix effaçait mes chagrins. Sa main me carressant éteingnait tous les feufollets sources de mes cauchemars. Maman me lisait toujours l'histoire de Cendrillon avant que je n'aille me coucher. J'aimais beaucoup cette histoire. Je m'étais même, mise dans la tête de devenir un jour comme Cendrillon. Maman était magique. Mais un jour, je n'eus plus jamais l'occasion d'écouter maman me raconter cette histoire. Je n'eus plus jamais l'occasion ni d'entendre sa voix, ni de revoir son sourire. Sa main était devenue froide, et la belle couleur de ses cheveux s'était envolée comme s'étaient envolées les pétales des fleurs rouges des champs. Maman était morte d'une maladie incurable qu'elle avait caché tout ce temps. Mon père le savait. Mais il ne m'avait jamais rien dit. Maintenant que j'y pense, je crois que tout le village le savait, sauf moi. Les autres enfants disaient parfois des phrases que je n'avais jamais comprises jusqu'à ce jour : "La pauvre, elle ne sera plus là pour Kaoru.", "La pauvre, c'est triste pour elle."... Ce jour là, j'avais enfin compris qu'ils parlaient de maman. Depuis ce jour, j'ai cherché à me protéger par moi-même. J'ai appris l'escrime en arrivant en ville. Mon père et moi nous étions installés dans le quartier marchand. Je l'aidais dans son travail. Il vendait des fruits et légumes qui venaient du village où nous habitions. Quelques temps plus tard, il s'était marié avec une autre femme qui avait déjà deux filles. Je ne les aimais pas, et ne les aime toujours pas. Puis, depuis la mort de mon père, ma belle mère et les deux idiotes font de moi leur esclave. J'aime beaucoup l'histoire de Cendrillon. D'ailleurs, j'ai remarqué que ma situation est un peu la même que la sienne au début de l'histoire. "Sauf que pour moi, il n'y aura pas de Happy End. Ma liberté, je me battrai pour l'avoir, même si le sang doit couler. Je suis BLOODY CINDERELLA." J'entends quelqun applaudir. "Bravo, bravo, c'était parfait." Je me retourne. "Qui...?" Une femme d'environs un mètre soixante quinze, juste un peu plus grande que moi. Elle a de longs cheveux presque noir, un peu violets. Habillée assez bizarrement d'un bandage sur la poitrine et d'une cape noire. " - Disons que... Je suis la bonne fée dans toute cette histoire. - La bonne fée ? Heh, on se fout de moi là ? - Hm... Alors appelle-moi plutôt la sorcière. Scilli-ah, surnommée Scilly. - ... Une sorcière... Pfft, laisse-moi rire ! Où vas-tu chercher de telles conneries ? - Ne tutoiyons pas nos aînées voyons ! Veus-tu aller au bal du prince Ashe ? - ... Ca ne m'intéresse pas. - Tu pourrais en profiter pour partir d'ici tu sais ? - Même un conte de fée ne me permettrait pas de m'en aller. - L'épée maudite Ragnarock si. - Maudite ? - Tes cheveux et tes yeux rouges sont la preuve que tu es le Sang de Ragnarock ma petite. Sais-tu pourquoi ta mère est morte si tôt ? Eh bien parce qu'elle n'a pas pu mettre la main sur la Ragnarock et que la malédiction l'a tuée ! - Ouais c'est ça ouais, et puis quoi encore. T'essais de me faire avaler tout ton baratin ? - Crois-moi, ou ne me crois pas. Je vais juste faire comme dans ton conte de fée préféré, jeune Cendrillon rouge." D'un claquement de doigts, je me suis retrouvée dans une grande robe rouge. " - ... C'est- C'était quoi ça...? Pourquoi je suis-... - Eh bien alors petite Cendrillon ? Aime-tu ma version de la robe ? Ah et pour information, tes bottes ne sont pas en verre mais en cuir. - ... J'avais remarqué merci. - Je vais maintenant te créer une carosse et un chauffeur. Que dirais-tu d'utiliser la citrouille qui est dans ton jardin et ta petite souris préférées ? - Non att-" De deux claquements de doigts, cette sorcière transforme la citrouille en carosse munie de deux chevaux sortis de je ne sais où, et transforme Jacques en humain. Apparait alors un jeune garçon à la carrure fragile et ayant une queue et des oreilles de rat. Un chapeau marron orne sa tête recouverte d'une chevelure mi-longue grise, presque blanche. Il est habillé d'une veste sans-manches en cuir, d'un manches-longues avec des manches en pagodes en dessous et d'un pantalon avec la partie du haut en "ballon". Le pauvre était rouge de honte. Je ne le savais pas si timide. " - Euh... Euh... Euuuh.... - Jacques ? - Ah !" Il s'accroupit et cache son visage avec de petites main dont les ongles étaient semblables à de petites griffes. " - Sorcière, redonne-lui forme. - Oh, mais je ne peux pas ! Le sort ne se dissipera qu'à minuit si tu suis le scénario de cendrillon ! - ... - Mais si tu ne mets pas la main sur la Ragnarock, tu ne pourras jamais t'enfuir vivante de cette ville. Tu es coincée ma pauvre. - Et si j'ai l'épée...? - Alors le sort ne se dissipera pas à moins d'annuler la malédiction de l'épée. - ... Tu aurais pu me demander mon avis avant de transformer Jacques dans ce cas ! - Non. Je fais mon travail. Bien, allons-y ! - ..." Je reste silencieuse. Je n'ai pas le choix. Comme elle l'a dit, je suis coincée. Je ne peux plus rien faire. Je suis obligée de la suivre. Maman, que ferais-tu dans cette situation...? J'aimerais savoir... J'ai peur... Je veux entendre ta voix douce et revoir ton sourire réconfortant. Je veux encore sentir ta main chaleureuse sur ma joue et tes doigts fins dans mes cheveux... Maman, je t'aimais tellement. Pourquoi es-tu partie comme ça sans prévenir ? Papa aussi est parti maintenant, et plus personne ne sera là pour moi. J'ai peur... J'ai peur mais je veux encore avancer pour trouver ma liberté et ma raison de vivre par moi-même. Je sens quelque chose me toucher tout à coup la main. Je tourne mon regard vers ma gauche. Jacques m'a pris la main dans les siennes, le regard baissé et le visage toujours aussi rouge. "Kaoru... Tu ne seras plus seule maintenant... Je vais rester sous cette forme encore longtemps parce que tu auras trouvé l'épée maudite... Alors... Tu ne seras plus seule... Je serai toujours là pour toi, et même quand je me retransformerai, nous resterons amis pour toujours... Alors... Alors ne sois pas triste s'il te plaît... Je suis sur que ta maman doit être très triste de te voir comme ça..." Comment...? Comment a-t-il fait ? Comment a-t-il fait pour savoir que je pensais à maman ? Non... Il a dû deviner à cause de la tête que je faisais. Mais... Je ne lui avais jamais parlé de maman... Je ne comprends pas. " - Euh... Je- Je suis désolé Kaoru ! Je... Je ne sais pas non plus comment j'ai fa- Ah ! Euh... Euuh... Desolé ! Désolé ! Désolé ! Désolé ! - Ah euh, c'est bon, ne t'excuse pas ! - Uhh... - C'est vrai que je ne serai plus seule à partir de maintenant. Mais... Tu es sûr que tu veux rester sous cette forme...? - Oui ! Parce que comme ça... C'est beaucoup plus facile de communiquer... avec le monde extérieur. Et puis... Et puis pour l'instant... On a pas trop le choix... - C'est vrai. dans ce cas allons-y." Oui... C'est vrai. A présent, je ne serai plus seule. Maman, j'ai enfin trouvé mon premier ami. Tu avais raison, je peux me faire des amis. Merci beaucoup, maman. Merci beaucoup, Jacques. "(De rien, Kaoru...)"
MERCI DE NE PAS VOTER AVANT D'AVOIR LU LE CHAPITRE. Bonjour ! Je vous amène donc aujourd'hui le second chapitre de Fate Choice ! Eh oui, je suis rapide pour une fois...! J'ai mis les turbos. /sourire/ Je suis tellement inspiré aussi...! Donc, comme le chapitre précédent, nous avons le point de vue de Fran ! J'espère que vous appréciez l'histoire, parce que moi, pour une fois, je l'aime beaucoup. Et pour une fois qu'elle est prévue à l'avance et que je n'improvise pas au pif...! Bonne lecture à tous ! \\o/ :: Choice II - Obscur :: Cela fait déjà plusieurs jours que je "sors" avec Siel. Les rumeurs se répandent dans le lycée et je ne peux plus aller quelque part sans que quelqun ne me fixe avec un regard déplacé. Après tout, Siel est populaire. Il l'est auprès de la gente féminine comme de la masculine... Et puis... Depuis que la nouvelle s'est répandue, Bel-senpai et les autres de la VARIA sont distants. Quand je vais les voir, Bel-senpai fait semblant de sourire, Mammon m'ignore complètement, Squalo me jette un regard direct et effrayant, Lussuria me regarde en coin et Levi ne répond plus ni s'énerve quand je lui parle mal... J'ai le sentiment... d'avoir perdu quelque chose d'important. " - ... Euh... Bon- Bonjour... - Yo. Viens t'assoir, 'shishi." Je les regarde. Personne ne réagit. Moi non plus. Pourquoi ce silence opressant ? Ils détestent Siel à ce point...? C'est sûrement à cause du fait que je sorte avec Siel qu'ils se comportent ainsi avec moi. Juste parce qu'ils ne l'aiment pas...? Mammon se met enfin à ouvrir la bouche, mais sûrement pas pour me demander de rester ici : " - Tu pourrais partir ? - Mammon...? - Bel, fais pas semblant. - ... - T'as pas entendu ? Je t'ai demandé de partir. Tu gênes tout le monde ici. Retourne donc avec ton prince charmant si tu le trouves mieux que Be-...!" Il s'est tellement énervé qu'il s'est levé de sa chaise. Il n'a pas terminé sa phrase ou je n'ai pas entendu le dernier mot ? Il se rassoie un peu plus calme mais paraissant toujours aussi frustré. " - Allez, viens t'assoir, ne t'occupes de ce que disent les autres. - Non merci... C'est bon, je vais partir." Je pars du réfectoire sans prendre mon repas. Après quelques minutes de marche, j'arrive au dortoir. Je monte les marches une à une, les comptant maladroitement à chaque pas. Ah, voilà ma chambre, la 666... Hum...? J'ai... Mince, je dois avoir oublié mes clefs à l'intérieur... Haah, j'ai la flemme de tout redescendre pour demander un double des clefs... Je m'adosse contre le mur et me laisse tomber en glissant le long de celui-ci. Je ramène mes jambes, pose mes avants-bras sur mes genoux pour poser la tête sur ces derniers et enfin me perdre dans mes pensées. Cette chaleur... Cette atmosphère joyeuse... La main de Bel-senpai... Tous me manquent déjà alors que je les ais connus il y a quelques jours seulement. Bel-senpai, Bel-senpai... Pourquoi ? Ai-je fait une erreur ? Où ? Laquelle ? Aurais-je dû refuser Siel ? Qu'ai-je fait ? Bel-senpai... Tes cheveux fins et lumineux... Ta peau claire... Ta voix légère et... et ta main. Bel-senpai, tout me manque déjà. Ta main... Quelle était la sensation de ta main déjà ? Je l'ai déjà oubliée... Dis-le moi ! Réapprends-moi la sensation de cette main... Je sais bien que c'est impossible. " - Fran ? - ! S-Siel...? - Qu'est-ce que tu fais ici, par terre ? - Ah... J'ai oublié mes clefs à l'intérieur... - 'shesheshe, à croire que Bel t'as vraiment refilé sa stupidité ! Viens dans ma chambre, je dirai à Olgert d'aller chercher des doubles en bas. - Ah... Merci..." J'entre avec Siel dans sa chambre. A ma plus grande surprise, c'est plutôt bien rangé. Hm... A mon avis, quand Siel s'énerve, il casse tout et laisse l'autre homme ranger à sa place. Hum... Comment il s'appelle déjà...? Org... Orgelt...? Euh non, je ne crois pas... " - Orer... Orgerg... Olgrterr... Aïe. - Olgert. - Ah..." Mince, je me suis mordu la langue. C'est ça, Olgert, ce majordome un peu intimidant. " - Qu'est-ce que t'as ? - Hm ? - T'es pâle et t'as les yeux rouges. T'as pleuré ? - ... - A cause de Bel ? - La faute vient probablement... de moi." C'est vrai. Bel-senpai n'est pas le fautif. Ni lui, ni les autres membres de la VARIA. Je suis l'origine de tous ces problèmes. C'est probablement moi qui ai fait l'erreur de faire le mauvais choix. "Fran, tu n'as pas à te soucier de ce qu'ils pensent. Sois juste toi et ne regrette rien. Je serai toujours là pour toi parce que je t'aime." Ah... C'est vrai... Siel m'a dit qu'il m'aime... Et c'est pour cette raison que nous sortons ensemble. Mais est-ce que j'ai vraiment fait le bon choix ? Après tout, c'est à cause de ça que les gens m'évitent et que les autres de la VARIA me repoussent. C'est aussi parce que j'ai fait ce choix que notre amitié à Bel-senpai et moi s'est arrêtée. Mais... Siel vient de dire qu'il sera toujours là pour moi... Qu'il m'aime pour ce que je suis. " - Alors... Si un jour je fais des erreurs, si un jour je me trompe et que je fais le mauvais choix... Tu seras aussi là pour moi...? - Bien sûr... Tu comptes plus que tout pour moi." Alors je peux peut-être l'aimer... S'il sera toujours là pour moi, je peux peut-être... Oui... Après tout... J'ai déjà tout perdu depuis mon dernier choix. Je n'ai plus rien à perdre. Siel... Prends-moi, prends-moi tout entier ! Mon corps, mon âme, mon coeur, prends tout et ne laisse rien ! A partir de ce moment, je suis à toi, prends-moi, fais ce que tu veux de moi. Je te donne mon rien et mon tout. Je veux me souvenir... Je veux graver dans ma mémoire ta chaleur, la sensation de tes mains, de tes lèvres... Et me souvenir à jamais de cette folie ! Cette folie amoureuse qui m'enveloppe et me noiede plus en plus dans une atmosphère brûlante, sombre ! Laisse-moi vivre dans tes bras et dans ce monde Obscur. Dehors, un orage et son déluge inondent et lavent le sol boueux. La journée est sombre. Les éclairs flashent et le tonnerre gronde. Le jour est sombre. Je marche au milieu du couloir sur le carrelage marbré blanc et gris aux côtés de mon prince. Chacun de mes pas résonne dans le couloir et provoque un écho. Vêtu aujourd'hui d'un uniforme de fille noir et retouché par Siel, j'avance. Les motifs de la veste restent les même motifs couleur or mais les bords avaient été modifiés. La veste est munie que d'un seul bouton et a ses deux bouts rallongés. Elle possède toujours ses manches ballon mais le reste des manches ont été raccourcies et le bout de celle-ci remplacé par des manches en pagode constitué de froufrous noirs. A l'intérieur, une chemise blanche classique de l'uniforme ; et autour du cou, à la place de la cravate, est attaché un ruban noir. La jupe est restée telle qu'elle était mis à part les froufrous blancs sur les bords. J'avance. J'avance en écoutant le son des talons de mes bottes noires en cuir et à lacets claquer sur le sol marbré. J'avance. J'avance avec une expression vide, un regard noircit. Le verni noir et le maquillage excessif qui décorait mon visage rendaient le tout encore plus sombre. Pour finir, sur ma tête est posée une couronne d'argent un peu plus petite que celle de Siel. Elle est incrustée d'un rubis et de deux pierres noires. Deux chaînettes sont accrochées sur le côté. Nous entrons tous les deux dans la salle d'anglais où se trouve les membres de la VARIA, Bel-senpai y compris. " - Hey ! Bel ! Je t'ai déjà présenté ma nouvelle princesse ? - ?! Siel... Bâtard... Qu'est-ce que tu lui as fait ? - Hm ? Heh ! Il s'est offert à moi de son propre chef ! Je n'ai absolument rien fait pour ! Ne crois-tu pas que c'est de votre faute, à tes petits copains-copains et toi ? 'Sheeeshesheshesheeh !" Ah... J'ai... J'ai entendu la voix de Bel-senpai...? Humph... Quelle importance après tout ? Je suis à Siel maintenant. Rien n'a plus d'importance à part lui. J'oublierai tout. Je ne ressentirai plus rien à part mon amour pour Siel. Je n'entendrai plus aucune voix à part la sienne ni ne regarderai personne à part lui. "Bel...-senpai... sauve-...moi...!" Je m'étoufferai dans un monce obscur où n'existera que Siel et moi.
MERCI DE NE PAS VOTER AVANT D'AVOIR LU LE CHAPITRE. Uss' la populasse ! Donc, comme vous le savez sûrement, je me trouve actuellement dans un pays en carton : Shanghai. Ca ne change pas de d'habitude, je sais, j'y suis tout le temps en vacances, et à chaque fois, je m'en plains. Pardon. Enfin bref, je vous amène donc le chapitre tant attendu par certains de Fate Choice ! Cette fois-ci, il n'y a pas de prologue. Ou du moins, pour le moment...? Enfin, ce n'est pas bien important. Ceci est donc une fanfiction Kateikyoushi Hitman Reborn tournant autour en particulier de la VARIA, l'unité indépendante d'assassins de la VONGOLA FAMIGLIA. D'ailleurs, vous verrez que l'école où entre Fran est appelée l'Ecole VONGOLA. /oui/ Excusez-moi s'il y a des fautes de frappe. Je ne me suis absolument pas relu et j'en connais deux qui étaient pressées de voir ce chapitre enfin en ligne, donc je me suis dépêché. D'ailleurs, je suis content d'avoir aboutit et merci à elles [Sushi et Shinwih] pour avoir lu mes extraits lors de l'écriture de ce chapitre. Comme il n'y a pas de prologue, je vous mets les données de la 'fics ici. Le shipping principal de cette 'fic est le célèbre Bel x Fran ! Enjoy ! Origine :: Kateikyoushi Hitman Reborn Nombre de chapitres :: 3 Etat :: Terminée Genre :: School - Romance - Shonen-ai :: First Choice - Miroirs Jumeaux :: Aujourd'hui, je suis transféré dans une nouvelle école. C'est un lycée plutôt grand... Un peu plus que mon ancienne école... C'est une école privée sur une île paumée avec un internat... Enfin, ce n'est pas bien grave. Pendant les vacances, je retournerai chez mamie. Bon... C'est quand qu'il m'appelle ce professeur ? Déjà qu'il a une tête d'endormi... Ca se trouve, il a oublié que j'étais devant la porte. Ah tiens, il ouvre. "Entre donc, Fran." dit-il. J'allais pas me gêner. S'il m'avait oublié, je serais rentré quand même. Comme si j'allais glander devant la porte debout comme un piquet au milieu du couloir. "Allez, présente-toi." Pourquoi pas après tout... "Je m'appelle Fran. Enchanté." C'est tout. Pourquoi donner des détails après tout ? Ca ne sert strictement à rien. Je n'ai rien à leur dire et ils n'ont rien à savoir sur moi. "Tiens, vas t'assoir là-bas au fond. Il y a une place entre Belphegor et Rasiel." Hm ? Ils se ressemblent... Des jumeaux ? L'un est plus chevelu que l'autre mais ils ont l'air chiants et ils ont tous les deux cette même aura meurtrière. J'ai pas envie de m'assoir là-bas... Mais il n'y a pas d'autre place. Je suppose que je n'ai pas trop le choix. Je m'avance vers eux. Plus j'avance, plus leur regard me font me sentir mal. Je pose mon sac sur la table, retire la chaise, et m'assois. Je sors vite ma trousse et mon cahier pour pouvoir suivre le cours. Les minutes passent. J'ai l'impression qu'ils me fixent en permanence et ça me stresse. Je n'ose même pas tourner ma tête. Je transpire tellement l'atmosphère m'opresse. A ma droite, se trouve... Rasiel...? C'est comme ça qu'il s'appelle ? Enfin, peu importe. Il est plus chevelu que Bel... Bel... phegor...? Oui c'est ça, Belphegor. Il est à ma gauche. Et puis ce Belphegor, il a des épis partout. Les deux portent une couronne. Rasiel a sa couronne penchée vers la droite tandis que Belphegor l'a penchée à sa gauche. Ils ont des cheveux blonds et une peau claire. Comme des princes. L'heure est passée. Enfin ! Vite, il faut que je range mes affaires pour pouvoir partir. Mais ils me retiennent. Les deux me chopent les bras en même temps et me tirent vers le bas pour que je me rassoies. Rasiel commence à parler. " - Eh toi, Fran c'est ça ? - Ushishi, j'te verrais bien avec un chapeau en forme de grenouille. - T'es quel âge ? T'as l'air beaucoup plus petit que nous mais t'es dans la même classe que nous, 'shesheshe... - Arrête de lui poser autant de questions. T'es vraiment un mec insupportable, 'shishishi. - T'as dit quoi là ? C'est toi qui es insupportable, 'sheshe. Tu crois que t'as des chances de succéder au trône alors que t'es le cadet ! - Tu veux t'battre connard ? - Heh, un vrai prince ne quitte pas son trône. Donc je reste assis. - Si tu restes assis, tu te feras tuer, ushishishi..." Ils se disputent ? Ils n'ont pas l'air de s'entendre. A mon avis, c'est ma chance pour m'enfuir. Oh non... Voilà le professeur ! Il ne manquait plus que lui...! " - Belphegor, tu veux bien faire visiter le lycée à Fran s'il te plaît ? - Hein ? Pourquoi je devrais ? - Dans c'cas, j'le ferai visiter, 'shesheshe. - ! J'vais lui faire visiter." Il me prend brusquement le poignet, prend mon sac et me tire direction le couloir. C'était quoi cette réaction ? Pourquoi il a réagit comme ça ? Il est plus idiot que je ne le pensais. " - Euh... - C'est "Bel-senpai" pour toi, ushishi... - Ah euh... Bel-senpai...? - Quoi ? - Euh... Non rien... - Ne m'appelle pas si c'est pour rien." Belphegor- euh... Bel-senpai commence à me faire visiter l'école. C'est une école grande. Il y a un étage pour chaque niveau de classe et une salle par matière dans chaque étage. Il y a un planétarium pour la Chimie. Le réféctoire et la bibliothèque sont énormissimes car ils doivent accueillir le maximum de personnes. La bibliothèque est plus grande qu'une bibliothèque nationnale et elle possède plus de sept millions de livres. Plusieurs escaliers en colimaçons sont répartis dans la salle. Dans toute l'école, le sol, les escaliers, certains meubles sont tous d'un marbre clair. Les rembardes sont la plupart du temps en or ou en argent et les armoiries sont d'un bois verni cher. Le réfectoire ressemble à un grand restaurant avec des tables en verre recouvertes de napes blanches sans une seule tâche. Deux lustres en verre sont accrochés au plafond. " - Et il y a deux étages parce que tu vois bien qu'un seul étage ne peut pas caser tous les élèves surtout que la plupart est en internat. Bon... Maintenant, j'vais te montrer les dortoirs." Nous nous dirigeons donc en direction des dortoirs. Finalement il ne fait pas si peur qu'il n'y paraît aux premiers abords. Tiens ? On est arrivés. On a dû marcher cinq bonnes minutes... Pourquoi contruire le dortoir si loin du bâtiment scolaire ? Wah, c'est grand. "Donc, les chambres des deuxième années sont au second étage. Ta chambre est entre celle de Siel et la mienne. Décidément, 'shishishi... 'fin bref, ta chambre est la 666. Donne tes clefs." Je lui donne mes clefs. En entrant, je suis bluffé. C'est ça le dortoir de l'Ecole VONGOLA ? On dirait une chambre d'hôtel. La salle de bain avec un sol de dalles de marbre blanc et des mur en marbre beige. Le bain est en marbre rose et le pommeau de douche ainsi que le mitigeur sont en argent. Le robinet et les porte-serviettes sont eux aussi en argent. Dans la chambre, s'étend sur le sol une moquette beige. Les murs sont construits d'une pierre lisse et rosâtre. Les armoiries sont toutes d'un beau bois verni. Le petit lustre suspendu au plafond est constitué d'argent et de verre. "Voilà, je t'ai tout fait visiter. Tu peux rester un peu là. Tu t'souviens du chemin jusqu'au réfectoire ? Il reste un peu de temps avant le dîner mais si tu te retrouves tout seul viens nous voir, 'shishi." Je hoche la tête. Il part et ferme la porte derrière lui. Je m'assois sur mon lit me demandant ce que je devrais faire maintenant. Je devrais peut-être prendre un peu de temps pour ranger mes affaires ? Hm... J'ai la flemme. J'ai pas envie de bouger. J'ai envie de connaître un peu plus Bel-senpai... et son frère...? Peut-être que lui aussi n'est pas aussi louche qu'il n'y paraît... On verra bien. Après cinq minutes de marche, j'arrive au réfectoire. Tiens ? Bel-senpai... Hm ? Il est avec des gens ? Il y a un grand chevelu avec des longs longs cheveux gris et qui a une tête de rageur, un gars avec un chapeau qui ressemble à un sac avec deux traits et qui lui cache les yeux, un travelot avec une mèche rouge et moche, et un mec qui ressemble à un vieux pervers avec une moustache moche et tordue. " - Hey, Fran c'est ça ? Si tu veux une place, faudra la payer. - Qu'est-ce que tu racontes ? Il n'a pas besoin de payer voyons ! Allez viens t'assoir à nos côtés mon choux ! - Humph ! Mais ! Il n'y a que Bel qui le connaît ici. Ce n'est pas une mauvaise chose qu'il s'installe avec nous. - T'as une drôle de façon d'utiliser "mais" moustache moche et tordue. - QUOIIII ?! - Oups, c'est sorti tout seul. - Ushishishi, tu t'en es pris pleins la gueule. - VOOOIII, ça change quoi de toute façon ?! Installez-vous vite qu'on commence à manger, déchets ! - Tiens ? Où est l'boss, 'shishi ? - Maaais, il mange encore dans sa chambreuuh ! Il ne mange jamais avec nous ! - VOOOII, le réfectoire deviendrait un champs de bataille s'il mangeait avec nous !" Une drôle d'ambiance. Ils n'ont pas l'air de s'entendre à merveille mais il y a pourtant quelque chose d'agréable dans cette atmosphère. Nous mangeons tout en discutant, en faisant connaissance... Lussuria est assez étrange et c'est un travelot avec une mèche rouge moche et molle et il est bruyant avec sa voix perçante mais sinon il est plutôt sympathique. Levi ressemble toujours à un vieux pervers avec sa moustache moche et tordue et il a toujours l'air aussi stupide. Mammon, lui, Lussuria m'a dit que son vrai nom est Viper mais qu'il ne veut pas qu'on l'appelle comme ça. Il est assez étrange et reste mystérieux. Il est obsédé par l'argent et fait toujours et toujours référence à l'argent dans presque toutes ses phrases. Quant à Squalo, il est très chevelu et on dirait qu'il a chopé la rage ou quelque chose dans le genre mais il a l'air beaucoup plus intelligent que Levi, au moins. Je crois même que c'est le vice-président du conseil des élèves. Le président du conseil étant ce Xanxus qui aurait transformé le réféctoire en champs de bataille. Et... Bel-senpai. Plus je le regarde, plus je le trouve beau. Je me sens bien à ses côtés. Bweurf, j'ai trop mangé...Hm... Au moins on peut dire que j'ai profité de ma premier soirée dans cette école... Tiens ? Ce ne serait pas... Rasiel...? " - Olgert ! T'as pas fait ce que je t'ai demandé ?! - Excusez-moi, Siel-sama... Je- - La ferme ! Rah, j'aurais dû le faire moi-mêm- Hm ? Fran...! - Ah euh... - Tu peux m'appeler Siel. - Euh... D'accord. - Viens, suis-moi. - Siel-sama...! - La ferme, ne me suis pas." On part en laissant l'autre homme derrière nous. Après cinq minutes, nous arrivons derrière le dortoir. Pourquoi derrière...? On ne devait pas rentrer...? Hm... Maintenant que j'y pense, il m'a juste dit de le suivre mais il ne m'a pas dit où nous allions. Il se retourne et me lève le menton avec sa main droite. " - Sors avec moi. - ...? Où...? - Heh, Bel t'a refilé sa stupidité ou quoi ? Je te parlais de devenir mon petit copain. - Désolé, mais si t'étais pas au courant, je suis un garçon. Si tu ne l'avais pas remarqué, c'est que tu es encore plus stupide que Bel-senpai. Merci de t'éloigner pour ne pas me la refiler. - Quoi ? Ca te pose un si gros problème qu'on soit deux mecs ? A ce que je sache, tu n'es pas hétéro. - ...! Qu'est-ce que t'es allé faire dans ma vie privée ? - C'est parce que je m'intéresse à toi. Je t'aime et c'est pour ça que je te demande de sortir avec moi. - T'as quoi d'autre comme blague ? On s'est connus aujourd'hui et on ne s'est pas parlé plus que ça et tu me dis que tu m'aimes et que tu veux sortir avec moi ? Foutaises. - Le coup de foudre, ça te dit rien ? Et de toute façon, je ne veux pas te laisser à Bel. Tu es sa cible à lui aussi après tout." Sa cible ? Comment ça sa cible ? On ne devait pas être amis ? C'est vrai que je commençais un peu à le trouver beau mais sans plus... Beau ? Hm... Ils ont le même visage de toute façon... Siel est peut-être... Le meilleur choix que je puisse faire...? Bel-senpai... Si je lui dis que je ne suis pas comme tout le monde, est-ce qu'il me rejettera ? Alors que Siel me donne une chance... Pourquoi pas après tout. "D'accord." Il rit. Son "'shesheshe" me fout les boules des fois. Mais tant pis. Après tout, je pensais juste que Bel-senpai est beau, sans plus. Siel a le même visage donc ça ne change rien. Mais... Pourquoi est-ce que... Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que je vais regretter ? Pourquoi ai-je l'impression que Siel est si différent de Bel-senpai...? Pourquoi l'atmosphère n'est-elle pas du tout la même...? Cette atmosphère agréable et chaleureuse me manque déjà. Le sensation de la main de Bel-senpai... Je l'ai déjà... oubliée.
MERCI DE NE PAS VOTER AVANT D'AVOIR LU LE CHAPITRE. Bonjour, bonsoir, tout dépend de l'heure à laquelle vous lisez cet article. Vous allez bien ? J'espère que vous allez mieux que moi, en tout cas. Moi, personnellement, j'ai le moral à 200%. Il fait beau, j'ai retrouvé la motivation de lire mes mangas et de dessiner... Mais bon, physiquement, je pense aller plutôt mal. Je me suis tout chopé en même temps : énorme bouton qui fait super mal sur la lèvre, angine, conjonctivite... Eh oui, j'ai chopé une conjonctivite, donc je passerai très rarement pendant un mois. J'ai déjà eu ma dose d'écran aujourd'hui, je dois dire. Mais comme je suis gentil, je vous amène tout de même comme promis depuis quelques jours déjà, le premier chapitre tant attendu de Fate Fantasy. Attention, je préviens, c'est une fanfiction Final Fantasy yaoi, donc à caractère homosexuels entre personnages masculins de Final Fantasy. Ceux qui ne suportent pas, cliquez sur la petite croix de l'onglet, les autres, merci de me lire et bonne lecture. Origine :: Final Fantasy 012 Dissidia Duodecim Nombre de chapitres :: 2 Etat :: En cours Genre :: Héroïque Fantasy - School - Romance - Shonen-ai - Yaoi - :: Prologue :: "Bientôt, le soleil se lèvera à nouveau pour commencer une nouvelle journée..." SkyWorld* était un pays fondé dans les cieux dont la capitale se nommait Ouranos*. C'était un pays formé de nuages et de petits bouts de terre flottant dans les airs. Les trottoirs étaient construits de terre, les routes de nuages. Là où le pays avait été fondé, sous le soleil rayonnant du jour, le ciel était clair et dégagé, et SkyWorld était d'un pure et magnifique blanc. Les bâtisses étaient composées de nuages, de marbres et de calcium. Tout était d'un blanc éclatant... Et la nuit, le ciel était aussi dégagé que le jour, mais le spectacle était différent : le ciel était recouvert d'une couverture de diamants ! Les étoiles étincelantes scintillaient dans le ciel, et, dans la ville assombrie par la nuit, ce n'était pas les lampadaires qui éclaraient SkyWorld. C'était des lucioles qui voletaient et qui offraient une magnifique scène sur tout SkyWorld... Les deux bâtiments les plus imposants d'Ouranos étaient le Palais Luminas habité par Cosmos, la Déesse de l'Harmonie, et la prestigieuse Ecole d'Ouranos. Et, à SkyWorld, les trains étaient appelés "SkyTrain". Les SkyTrains* étaient des trains roulant sur des railles de nuages. Et il y avait, en tout, à SkyWorld, sept stations : les plus utilisées étant la station d'Ouranos, la station de Caelestis* et la station de Veridis*. Et, à l'Est de la capitale, se trouvait un petit bout de terre soutenant l'Aliquam Vicis* qui était une tour bénie et sacrée par le pouvoir de Cosmos afin de l'aider à protéger le pays céleste... Bien sûr, elle ne pouvait pas gouverner et protéger SkyWorld seule. Et ce fut pourquoi, elle choisit vingt guerriers afin de préserver la paix du pays des cieux ; et ces vingts courageux protagonistes seront amenés à combattre bien plus coriaces qu'ils ne le penseraient... SkyWorld :: SkyWorld désigne le "Monde du Ciel". Dans la fiction, SkyWorld est le pays céleste gourverné par Cosmos et habité par les protagonistes de l'histoire. Ouranos :: Divinité mythologique grecque personnifiant le Ciel. Dans la fiction, Ouranos est la capitale de SkyWorld. SkyTrains :: SkyTrains désigne les "Trains du Ciel". Dans la fiction, ce sont ces trains qui permettent aux habitants du pays de se déplacer facilement d'île en île pour le travail, les études ou autre... Caelestis :: Latin de "Céleste". Dans la fiction, c'est la deuxième ville la plus importante après la capitale Ouranos. Cette ville est certe moins animée que la capitale, mais elle reste indispensable et contient les meilleures ressources du pays. Veridis :: Latin de "Vert". Dans la fiction, Veridis désigne le plus gros bout de terre flottant du pays. En concéquence, c'est l'île céleste la plus peuplée de végétation, et c'est pour cela qu'elle fut nommée ainsi. Aliquam Vicis :: Latin de "Tour du Temps". Dans la fiction, cette tour est bénie par le pouvoir harmonieux de Cosmos et aide à maintenir l'équilibre du pays. :: Chapitre I - Entrance Test :: Point de vue Interne de Tribal Zidane :: "Bientôt, le soleil se lèvera à nouveau pour commencer une nouvelle journée..." Cette pensée me trottait dans la tête. Il était déjà cinq heures et quart, et je n'avais pas fermé l'oeil de la nuit. Allongé sur mon lit, les mains derrière la tête, balançant ma queue à rythme régulier, j'observais, à travers ma fenêtre fixée dans le plafond, le ciel sombre s'éclaircissant peu à peu pour laisser place à l'aube. L'examen d'entrée au lycée était à huit heures ce matin, et nous avions une heure pour réviser nos cours, une fois arrivés en classe : nous devions arriver à sept heures à l'école... En voyant enfin le soleil se lever, je jetai un oeil sur ma montre qui affichait "06:14". C'était l'heure de me lever. Je quittai alors mon lit, puis m'emparai de mon fin ruban afin d'attacher le col de ma chemise blanche avec. J'enfilai la veste de mon uniforme et couvris ma tête de mon chapeau. Une fois prêt, je récupérai de mon sac et de mon portable, puis sortis de ma chambre. J'ouvris les volets, et les rayons du soleil pénétrèrent dans la pièce. Je pris mon petit déjeuner composé de deux tartines de beurre, d'un oeuf au plat, d'un jus d'orange et d'un verre de lait demi-écrèmé. Une fois le repas terminé, je me munis de mon sac, rangeai mon téléphone portable dans l'une des poches de celui-ci, me chaussai vite-fait, en cachant mes lacets dans mes baskets, puis sortis de mon appartement en claquant la porte derrière moi. Dès que je me retournai, après avoir fermé ma porte à clef, je clignai des yeux tant le soleil m'éblouissait. Et, en protégeant mes yeux de la lumière à l'aide de ma main gauche, je m'avançais vers les escaliers. "Pfouh ! Quelle chaleur !" pensai-je en levant légèrement la tête et les yeux pour regarder le ciel bleu et dégagé du petit matin. Puis je continuai mon chemin en récapitulant mes règles de grammaire, mes propriétés de maths, et mon vocabulaire d'anglais... Avançant sur le sol de calcium, je me perdais dans mes pensées... Une quinzaine de minutes plus tard, j'atteignis enfin l'école. Je remarquai alors que Bartz et Terra m'attendaient près d'une des colones de marbres. " - He--y ! Bartz ! Terra ! appelai-je remuant mon bras gauche et ma longue queue blonde. - Zidane ! s'exclama Bartz en courant vers moi. Terra le suivit en courant un peu moin vite. - Vous avez réussi à dormir vous ? les interrogeai-je alors dans l'espoir que je n'étais pas le seul à ne pas avoir fermé l'oeil de la nuit... - Pas tellement non... Je me suis endormi ce matin vers quatre heures...! - Ah, moi je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit ! annonçai-je en riant. Et toi Terra ? - Hm... Moi, je me suis endormie en révisant sur mon bureau... Et maintenant j'ai mal à la nuque...! - Ah bah c'est pas mâlin ! plaisanta Bartz. - Hey, un peu de respect envers la jeune fille voyons ! plaisantai-je à mon tour." Nous riâmes, puis nous nous dirigeâmes vers le couloir qui menait à la salle de notre examen. J'espèrais sincèrement pouvoir entrer dans le lycée de cette école, car Tidus y était, lui. "Et si je réussis mon examen d'entrée, ça voudrait dire que Tidus et moi, nous nous verrons plus souvent...!" pensai-je à voix haute. " - Tiens donc, alors comme ça, t'as révisé comme un malade pour pouvoir rester plus avec Tidus hein ? me charia Bartz qui avait tout entendu. - Eh ? Hein ? Euh non je- - T'es grillé ! Je lui dirai ! - Oh non ! S'il te plaît ! lui priai-je rougissant jusqu'aux oreilles. - Mais oui, je lui dirai rien, oh ! Je rigolais ! Et au fait, t'es tout rouge !" J'eu tout de suite le réflexe de m'accroupir, puis de cacher ma tête en mettant mon front contre mes genoux et enfin d'enrouler ma queue autour de mes pieds ; je posai mes coudes sur mes genoux afin de mettre mes mains à l'arrière de ma tête baissée. Bartz s'accroupi à côté de moi, l'air désolé pour m'avoir mis dans cet état. Je relevai alors ma tête, et lui adressai un sourire pour lui annoncer que j'allais bien. Enfin, le moment était venu, huit heures était arrivé. L'examen commença. J'enchaînais question sur question sans fléchir, sans penser à autre chose que ce que j'avais sous les yeux : le sujet de l'examen de Japonnais. Gigantic Bell retentit. L'examen de Japonnais était achevé ! L'ambiance de la classe se détendit et les bavardages montèrent en "crescendo". " - Ah... J'ai raté le deuxième exercice et le dernier ! se lamenta Bartz, déçut. - Ah ? Moi j'ai tout réussi, j'ai pas trouver ça trop dur... protestai-je. - Rah... J'ai du mal réviser... Ou alors c'est le stresse qui m'a fait oublier...! - Moi non plus, je n'ai pas réussi le dernier exercice... déclara Terra timidement. Il a été dur je trouve... - Et toi, Kuja ? Tu l'as réussi ? interrogeai-je alors à Kuja qui passait devant nous. - Evidemment ! Pour qui me prends-tu ?! répondit celui-ci fier de lui. - On verra bien ta note ! plaisanta Bartz. - Je suis sûr d'avoir une meilleure note que toi ! rétorqua-t-il, sûr de lui." La grande cloche retentit. C'était donc l'heure pour nous de passer l'épreuve de mathématiques, ce qui ne m'enchantait pas, car je préférais la littérature aux sciences...! Mais bon, je ne pouvais pas trop choisir, et je devais absolument le réussir si je voulais passer ce fichu examen d'entrée...! C'était fini ! Les examens d'entrée étaient enfin finis ! Nous en étions maintenant débarassés ! "C'est génial ! Demain, ils annonceront les résultats, et, si j'ai réussi, je pourrais continuer mes études à l'Ecole d'Ouranos avec Tidus...!" pensais-je en rangeant mes affaires. Un sourire idiot s'afficha sur mon visage sans que je ne m'en rendisse compte. Terra me jeta alors un regard curieux, je rougis, riai puis lui dis que ce n'était rien. C'est alors qu'en sortant de la salle de classe, je vis Squall et Bartz côte-à-côte. Squall était sûrement là pour féliciter Bartz, car il avait bien réussi ses épreuves ! Bartz affichait d'ailleurs un sourire radieux ! Et, pour ne pas les déranger, je prenai le chemin inverse. "Il en a, de la chance..." pensais-je alors tout en marchant maladroitement sous le soleil couchant et le ciel rosé. Rentrer chez moi ? Non, je n'en avais pas l'ombre d'une envie...! Et c'est pour cela, que j'errai dans les rues jusqu'à ce que le soleil disparaisse derrière les nuages, laissant place à la scène étoilée et à la lune pâle et claire... Les lucioles se mirent à infester les rues, rendant Ouranos de plus en plus beau au fur et à mesure des heures... Je continuais donc à errer sans but précis sur les trottoirs de la capitale, jusqu'à ce que j'aperçoive un grand garçon, me dépassant d'une tête et demi, les cheveux courts et blonds, portant un pull rouge et un pantalon court d'un côté, long de l'autre. Il était avec Yuna, une jeune fille brune, ayant les cheveux mi-longs et portant une tenue de prêtresse. Je courus vers lui, traversant au feu rouge du piéton. Et lorsque je vis Tidus et Yuna s'en aller, je fis un grand pas, puis trébuchai. Je tombai à plat ventre sur le sol. Ils se retournèrent alors d'un coup en entendant ma cascade puis se ruèrent vers moi. " - Zidane ! s'exclamèrent-t-ils en même temps. - Zidane, ça va ? s'inquiéta Yuna. - Ouach, ça a dû faire mal...! Tu peux te lever ? me demanda Tidus en m'aidant à me remettre debout. - Haha, ça va... Désolé de vous avoir inquiétés...! - Zidane... soupira Yuna de soulagement. - Mais t'es vraiment incorrigible ! s'exclama alors Tidus. - Euh...? - Regarde-toi ! T'as l'air d'aller bien à ton avis ? Il faut désinfecter tout ça au plus vite ! gronda-t-il fixant ma peau dégradée et mon sang coulant. Bon, Yuna, désolé, tu peux rentrer toute seule...? Je vais aider Zidane à désinfecter tout ça... - Oui, il n'y a pas de problème ! - Tant mieux, mais fais tout de même attention en rentrant..." Elle nous salua, puis partit de son côté. Puis soudain, Tidus glissa son bras gauche sur mes jarets, saisit mon épaule de son bras libre, puis me souleva d'un coup sec ! " - Wouah ! m'étonnai-je. Hey, m-mais Tidus ! Qu'est-ce que tu- - Je vais te porter jusqu'à chez moi. J'habite plus près d'ici que toi, donc il serait plus judicieux de te soigner chez moi ! - Oui mais... Je peux marcher tout seul...! protestai-je, rougissant jusqu'au oreilles. Et, sentant mon sang bouiller et me monter au visage, j'enfouis ma tête dans son pull. - Zidane ?... - Ne-... Ne me regarde pas ! - Ah, comme tu veux..." Nous continuâmes notre chemin en silence, tandis que ma tête était encore enfouie dans son gilet. Son odeur sentait bon, et j'arrivais à entendre son coeur battre de temps à autre... Je me perdais dans mes pensées, imaginant déjà comment il aurait pu réagir si je lui avait dit ce que je ressentais à son égard... Il m'aurait sûrement rejeté... Sûrement... Puis des larmes commencèrent à noyer mes yeux, puis à me couler sur les joues... J'essayais de m'empêcher de trembler, mais il le sentit quand même : " - ! Zi-Zidane ? Ah ! Tu pleures ?! Où est-ce que t'as mal ?... s'inquiéta Tidus. Heureusement, il pensait que c'était la douleur qui me faisait pleurer...! - Hum, non, c-c'est rien... rétorquai-je en essuyant mes yeux et en reniflant un peu." Puis, Tidus commença à courir, en faisant attention a ne pas toucher à mes blessures. Un peu plus tard, nous arrivâmes devant son appartement. Il s'empara de ses clefs maladroitement, puis essaya de trouver la bonne. Je remarquai alors qu'il n'avait pas de porte-clefs... Il ouvrit la porte, puis me posa à terre. Je chancelai, puis me baissai pour enlever mes chaussures. Une fois cela fait, Tidus referma la porte à clef, puis me porta jusqu'à sa chambre. En entrant, je découvris une chambre mal rangée et désordonnée. Sur les murs, il y avait quelques photos de son enfance, et quelques posters. Il me posa sur son lit, puis repartit de sa chambre en courant. Il revint quelques instants plus tard, une trousse de soins à la main. Il l'ouvrit, puis appliqua un coton trempé par de l'alcool soixante-dix degrès, ce que me piqua et me fit lâcher un "Ah !" lorsqu'il l'étala sur mon genoux. Il recouvrit mes blessures de pansements, et la plus grosse d'un bandage. " - Eh voilà l'travaille ! Hm... Tu veux manger quelque chose peut-être, non ? Je vais préparer le repas, reste ici... - Merci... - Hm ? De quoi ? C'est normal de s'aider entre amis ! Il faut se soutenir dans la vie !" Il me fit un sourire, puis quitta la pièce. "C'est normal de s'aider entre amis !", c'est vrai, je devais l'avouer... Il ne pouvait pas être au courant... Seulement, supporter tout cela alors que nous étions enfin seuls tous les deux, c'était beaucoup trop pour moi... Mais j'avais peur de sa réaction, j'avais peur qu'il me rejette... Et c'est pourquoi je ne lui avais jamais rien dit à propos de mes sentiments. Je finis par me perdre dans mes pensées, puis à m'affaler sur le lit de Tidus. Je repliai mes jambes, courbai mon dos, puis finis par m'endormir. Point de vue Interne de Tidus :: Comme j'avais terminé de préparer le repas, je sortis un plateau, puis posai les plats et le riz dessus afin de le monter dans ma chambre. En entrant dans la pièce d'où m'attendait sûrement Zidane, je remarquai que le petit singe blond s'était assoupis. Je posai alors le plateau sur mon bureau, puis m'assis sur mon lit, hésitant à réveiller mon ami. Enfin, "ami"... Etait-ce seulement un ami pour moi ? Non, je le savais bien... Pourtant, je refusais de lui avouer, je refusais de lui dire que je l'aimais. Sûrement parce que je tenais trop à notre amitié... Non, c'était une excuse... J'avais... peur. J'avais juste peur qu'il me repousse car j'étais un garçon, car une telle relation ne serait pas "normale". Et, inconsciemment, je me rapprochais de lui, je me rapprochais de son visage, puis, avant que je ne m'en rendisse compte, je l'embrassais déjà... "Je suis horrible..." pensais-je tout en prenant peu à peu conscience de ce que je faisais à mon compagnon. C'est vrai, faire cela alors qu'il était endormi, c'était horrible de ma part. Mais même si je le savais, je ne pouvais désormais plus m'arrêter. Les lèvres de Zidane m'attiraient étrangement, et moi, je ne pouvais résister. Au bout d'un moment, je finis par moi aussi m'endormir, en oubliant tout ce que j'avais autour de moi. Tout, mis à part Zidane. Le lendemain matin, je fus réveillé par la lumière du jour et par les vibrations du téléphone de Zidane. J'avais des courbatures, sûrement parce que je m'étais endormi dans une mauvaise position la veille... Et puis, je me levais, la main droite sur le visage, m'avançant vers le téléphone qui vibrait. Je vis alors que c'était un appel de Bartz, et, comme la belle aux bois dormant ne se réveillait toujours pas, je me décidai à déccrocher à sa place. " - Zidane ?! Mais qu'est-ce que tu fais bon sang ?! - Désolé, Zidane dort toujours, c'est Tidus. Qu'est-ce qui se passe ? - Ah, Tidus ? Comment ça il dort ?! Mais il doit absolument venir à lécole ! Il y a les résultats des examens qui sont annoncés et il y a une super bonne nouvelle pour lui ! - Sérieux ? Je le réveille tout de suite ! - Ramène-le le plus vite possible, hein ? - Ok ! A tout à l'heure ! - 'Plus !" Je posai alors le téléphone puis m'avaçai rapidement vers Zidane afin de le réveiller. Mais mes mouvements s'arrêtèrent alors que ma main s'approchait de son épaule. Voyant son visage endormi à la peau cristalline sous les doux rayons du jour et ses longs cils et longs cheveux blonds, j'eus encore des pultions. Non, ce n'était pas bien, je ne devais pas recommencer... Je ne devais pas le toucher encore une fois alors qu'il était sans défense... Soudain, les fines paupières du garçon se mirent à bouger, et enfin à dévoiler ses beaux yeux azurs. Il se réveillait lentement tandis que je continuais de l'observer, sans me rendre compte qu'il me voyait. Je regardais et admirais son beau visage clair à moitié réveillé. C'était comme si... J'avais un ange en face de moi... C'était comme si nous nous trouvions dans une plaine et que la brise caressait ses fins cheveux or... Il me regardait, l'air innocent, et moi, je le fixais, sans détourner mon regard. J'étais émerveillé par la beauté de mon ange.
MERCI DE NE PAS VOTER AVANT D'AVOIR LU LES TROIS QUARTS DU CHAPITRE. Eh bien, eh bien, chers lecteurs ! Après une très longue attente de plusieurs semaines, de plusieurs mois, me voici avec le chapitre II de Fate Fantasy ! Eh oui, les fans de Final Fantasy et surtout les yaoiste vont être ravis ! ATTENTION, SI VOUS ÊTES SENSIBLES OU SI VOUS AVEZ RANCUNE ENVERS LE YAOI, MERCI DE NE PAS LIRE LA FIN DU CHAPITRE CAR IL CONTIENT UNE SCèNE SEXUELLE. Ce n'est pas une scène bien explicite, me connaissant, mais je préfère être sûr et JE RENIERAI TOUT MALENTENDUS OU INCIDENTS QUE POURRAIT PROVOQUER LA FIN DE CE CHAPITRE. Merci de votre compréhension. :: Chapitre II - My Dear Friend, My Dear Lover :: Point de vue Interne de Klauser Bartz :: Il y avait quelqun que j'aimais beaucoup. C'était un garçon grand, fort, beau, intelligent, charismatique... Il avait toutes les qualités du monde. Seulement, il était un peu réservé et taciturne. On remarquait souvent son mauvais caractère... Ce garçon, je l'aimais beaucoup. C'était un ami précieux et très important pour moi. J'étais entré dans le lycée d'Ouranos pour pouvoir suivre la même université que lui. Pour moi, Squall était un ami très précieux. Mais de temps à autre, il me prenait dans ses bras, me serrait fort, m'embrassait... A chaque fois, je me disais toujours "Squall est un ami précieux pour moi. Mais est-ce que les amis font ce que nous faisons ? Bien sûr que non... Alors pourquoi ? Qu'est-ce que Squall pense ?...". Quelques fois, Squall me répétait "Je t'aime". Mais que signifiait ces mots ? "Je t'aime" a tant de significations que je ne pouvais comprendre... Lorsqu'il me soufflait ces mots à l'oreille, j'avais toujours envie de dire "Moi aussi", mais les mots me manquaient. Pourquoi me sentais-je insatisfait de toutes les réponses que j'avais pu trouver ? Lui répondre "Je t'aime aussi" était trop peu pour tout exprimer. Parfois, en me réveillant, je voyais Squall assi à côté de moi, pleurant en silence. Mais je ne trouvais pas les mots pour lui demander "Pourquoi ?". Alors, je restais muet, puis faisais semblant de dormir. Rien ne perturba le silence dans lequel j'entendais irrégulièrement le souffle de Squall.
Excusez, j'ai voulu refaire mon blog et j'avais supprimé cet article par erreur. MERCI DE NE PAS VOTER AVANT D'AVOIR LU LE DOUJINSHI.