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MERCI DE NE PAS VOTER AVANT D'AVOIR LU LE CHAPITRE. Bonjour, bonsoir, tout dépend de l'heure à laquelle vous lisez cet article. Vous allez bien ? J'espère que vous allez mieux que moi, en tout cas. Moi, personnellement, j'ai le moral à 200%. Il fait beau, j'ai retrouvé la motivation de lire mes mangas et de dessiner... Mais bon, physiquement, je pense aller plutôt mal. Je me suis tout chopé en même temps : énorme bouton qui fait super mal sur la lèvre, angine, conjonctivite... Eh oui, j'ai chopé une conjonctivite, donc je passerai très rarement pendant un mois. J'ai déjà eu ma dose d'écran aujourd'hui, je dois dire. Mais comme je suis gentil, je vous amène tout de même comme promis depuis quelques jours déjà, le premier chapitre tant attendu de Fate Fantasy. Attention, je préviens, c'est une fanfiction Final Fantasy yaoi, donc à caractère homosexuels entre personnages masculins de Final Fantasy. Ceux qui ne suportent pas, cliquez sur la petite croix de l'onglet, les autres, merci de me lire et bonne lecture. Origine :: Final Fantasy 012 Dissidia Duodecim Nombre de chapitres :: 2 Etat :: En cours Genre :: Héroïque Fantasy - School - Romance - Shonen-ai - Yaoi - :: Prologue :: "Bientôt, le soleil se lèvera à nouveau pour commencer une nouvelle journée..." SkyWorld* était un pays fondé dans les cieux dont la capitale se nommait Ouranos*. C'était un pays formé de nuages et de petits bouts de terre flottant dans les airs. Les trottoirs étaient construits de terre, les routes de nuages. Là où le pays avait été fondé, sous le soleil rayonnant du jour, le ciel était clair et dégagé, et SkyWorld était d'un pure et magnifique blanc. Les bâtisses étaient composées de nuages, de marbres et de calcium. Tout était d'un blanc éclatant... Et la nuit, le ciel était aussi dégagé que le jour, mais le spectacle était différent : le ciel était recouvert d'une couverture de diamants ! Les étoiles étincelantes scintillaient dans le ciel, et, dans la ville assombrie par la nuit, ce n'était pas les lampadaires qui éclaraient SkyWorld. C'était des lucioles qui voletaient et qui offraient une magnifique scène sur tout SkyWorld... Les deux bâtiments les plus imposants d'Ouranos étaient le Palais Luminas habité par Cosmos, la Déesse de l'Harmonie, et la prestigieuse Ecole d'Ouranos. Et, à SkyWorld, les trains étaient appelés "SkyTrain". Les SkyTrains* étaient des trains roulant sur des railles de nuages. Et il y avait, en tout, à SkyWorld, sept stations : les plus utilisées étant la station d'Ouranos, la station de Caelestis* et la station de Veridis*. Et, à l'Est de la capitale, se trouvait un petit bout de terre soutenant l'Aliquam Vicis* qui était une tour bénie et sacrée par le pouvoir de Cosmos afin de l'aider à protéger le pays céleste... Bien sûr, elle ne pouvait pas gouverner et protéger SkyWorld seule. Et ce fut pourquoi, elle choisit vingt guerriers afin de préserver la paix du pays des cieux ; et ces vingts courageux protagonistes seront amenés à combattre bien plus coriaces qu'ils ne le penseraient... SkyWorld :: SkyWorld désigne le "Monde du Ciel". Dans la fiction, SkyWorld est le pays céleste gourverné par Cosmos et habité par les protagonistes de l'histoire. Ouranos :: Divinité mythologique grecque personnifiant le Ciel. Dans la fiction, Ouranos est la capitale de SkyWorld. SkyTrains :: SkyTrains désigne les "Trains du Ciel". Dans la fiction, ce sont ces trains qui permettent aux habitants du pays de se déplacer facilement d'île en île pour le travail, les études ou autre... Caelestis :: Latin de "Céleste". Dans la fiction, c'est la deuxième ville la plus importante après la capitale Ouranos. Cette ville est certe moins animée que la capitale, mais elle reste indispensable et contient les meilleures ressources du pays. Veridis :: Latin de "Vert". Dans la fiction, Veridis désigne le plus gros bout de terre flottant du pays. En concéquence, c'est l'île céleste la plus peuplée de végétation, et c'est pour cela qu'elle fut nommée ainsi. Aliquam Vicis :: Latin de "Tour du Temps". Dans la fiction, cette tour est bénie par le pouvoir harmonieux de Cosmos et aide à maintenir l'équilibre du pays. :: Chapitre I - Entrance Test :: Point de vue Interne de Tribal Zidane :: "Bientôt, le soleil se lèvera à nouveau pour commencer une nouvelle journée..." Cette pensée me trottait dans la tête. Il était déjà cinq heures et quart, et je n'avais pas fermé l'oeil de la nuit. Allongé sur mon lit, les mains derrière la tête, balançant ma queue à rythme régulier, j'observais, à travers ma fenêtre fixée dans le plafond, le ciel sombre s'éclaircissant peu à peu pour laisser place à l'aube. L'examen d'entrée au lycée était à huit heures ce matin, et nous avions une heure pour réviser nos cours, une fois arrivés en classe : nous devions arriver à sept heures à l'école... En voyant enfin le soleil se lever, je jetai un oeil sur ma montre qui affichait "06:14". C'était l'heure de me lever. Je quittai alors mon lit, puis m'emparai de mon fin ruban afin d'attacher le col de ma chemise blanche avec. J'enfilai la veste de mon uniforme et couvris ma tête de mon chapeau. Une fois prêt, je récupérai de mon sac et de mon portable, puis sortis de ma chambre. J'ouvris les volets, et les rayons du soleil pénétrèrent dans la pièce. Je pris mon petit déjeuner composé de deux tartines de beurre, d'un oeuf au plat, d'un jus d'orange et d'un verre de lait demi-écrèmé. Une fois le repas terminé, je me munis de mon sac, rangeai mon téléphone portable dans l'une des poches de celui-ci, me chaussai vite-fait, en cachant mes lacets dans mes baskets, puis sortis de mon appartement en claquant la porte derrière moi. Dès que je me retournai, après avoir fermé ma porte à clef, je clignai des yeux tant le soleil m'éblouissait. Et, en protégeant mes yeux de la lumière à l'aide de ma main gauche, je m'avançais vers les escaliers. "Pfouh ! Quelle chaleur !" pensai-je en levant légèrement la tête et les yeux pour regarder le ciel bleu et dégagé du petit matin. Puis je continuai mon chemin en récapitulant mes règles de grammaire, mes propriétés de maths, et mon vocabulaire d'anglais... Avançant sur le sol de calcium, je me perdais dans mes pensées... Une quinzaine de minutes plus tard, j'atteignis enfin l'école. Je remarquai alors que Bartz et Terra m'attendaient près d'une des colones de marbres. " - He--y ! Bartz ! Terra ! appelai-je remuant mon bras gauche et ma longue queue blonde. - Zidane ! s'exclama Bartz en courant vers moi. Terra le suivit en courant un peu moin vite. - Vous avez réussi à dormir vous ? les interrogeai-je alors dans l'espoir que je n'étais pas le seul à ne pas avoir fermé l'oeil de la nuit... - Pas tellement non... Je me suis endormi ce matin vers quatre heures...! - Ah, moi je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit ! annonçai-je en riant. Et toi Terra ? - Hm... Moi, je me suis endormie en révisant sur mon bureau... Et maintenant j'ai mal à la nuque...! - Ah bah c'est pas mâlin ! plaisanta Bartz. - Hey, un peu de respect envers la jeune fille voyons ! plaisantai-je à mon tour." Nous riâmes, puis nous nous dirigeâmes vers le couloir qui menait à la salle de notre examen. J'espèrais sincèrement pouvoir entrer dans le lycée de cette école, car Tidus y était, lui. "Et si je réussis mon examen d'entrée, ça voudrait dire que Tidus et moi, nous nous verrons plus souvent...!" pensai-je à voix haute. " - Tiens donc, alors comme ça, t'as révisé comme un malade pour pouvoir rester plus avec Tidus hein ? me charia Bartz qui avait tout entendu. - Eh ? Hein ? Euh non je- - T'es grillé ! Je lui dirai ! - Oh non ! S'il te plaît ! lui priai-je rougissant jusqu'aux oreilles. - Mais oui, je lui dirai rien, oh ! Je rigolais ! Et au fait, t'es tout rouge !" J'eu tout de suite le réflexe de m'accroupir, puis de cacher ma tête en mettant mon front contre mes genoux et enfin d'enrouler ma queue autour de mes pieds ; je posai mes coudes sur mes genoux afin de mettre mes mains à l'arrière de ma tête baissée. Bartz s'accroupi à côté de moi, l'air désolé pour m'avoir mis dans cet état. Je relevai alors ma tête, et lui adressai un sourire pour lui annoncer que j'allais bien. Enfin, le moment était venu, huit heures était arrivé. L'examen commença. J'enchaînais question sur question sans fléchir, sans penser à autre chose que ce que j'avais sous les yeux : le sujet de l'examen de Japonnais. Gigantic Bell retentit. L'examen de Japonnais était achevé ! L'ambiance de la classe se détendit et les bavardages montèrent en "crescendo". " - Ah... J'ai raté le deuxième exercice et le dernier ! se lamenta Bartz, déçut. - Ah ? Moi j'ai tout réussi, j'ai pas trouver ça trop dur... protestai-je. - Rah... J'ai du mal réviser... Ou alors c'est le stresse qui m'a fait oublier...! - Moi non plus, je n'ai pas réussi le dernier exercice... déclara Terra timidement. Il a été dur je trouve... - Et toi, Kuja ? Tu l'as réussi ? interrogeai-je alors à Kuja qui passait devant nous. - Evidemment ! Pour qui me prends-tu ?! répondit celui-ci fier de lui. - On verra bien ta note ! plaisanta Bartz. - Je suis sûr d'avoir une meilleure note que toi ! rétorqua-t-il, sûr de lui." La grande cloche retentit. C'était donc l'heure pour nous de passer l'épreuve de mathématiques, ce qui ne m'enchantait pas, car je préférais la littérature aux sciences...! Mais bon, je ne pouvais pas trop choisir, et je devais absolument le réussir si je voulais passer ce fichu examen d'entrée...! C'était fini ! Les examens d'entrée étaient enfin finis ! Nous en étions maintenant débarassés ! "C'est génial ! Demain, ils annonceront les résultats, et, si j'ai réussi, je pourrais continuer mes études à l'Ecole d'Ouranos avec Tidus...!" pensais-je en rangeant mes affaires. Un sourire idiot s'afficha sur mon visage sans que je ne m'en rendisse compte. Terra me jeta alors un regard curieux, je rougis, riai puis lui dis que ce n'était rien. C'est alors qu'en sortant de la salle de classe, je vis Squall et Bartz côte-à-côte. Squall était sûrement là pour féliciter Bartz, car il avait bien réussi ses épreuves ! Bartz affichait d'ailleurs un sourire radieux ! Et, pour ne pas les déranger, je prenai le chemin inverse. "Il en a, de la chance..." pensais-je alors tout en marchant maladroitement sous le soleil couchant et le ciel rosé. Rentrer chez moi ? Non, je n'en avais pas l'ombre d'une envie...! Et c'est pour cela, que j'errai dans les rues jusqu'à ce que le soleil disparaisse derrière les nuages, laissant place à la scène étoilée et à la lune pâle et claire... Les lucioles se mirent à infester les rues, rendant Ouranos de plus en plus beau au fur et à mesure des heures... Je continuais donc à errer sans but précis sur les trottoirs de la capitale, jusqu'à ce que j'aperçoive un grand garçon, me dépassant d'une tête et demi, les cheveux courts et blonds, portant un pull rouge et un pantalon court d'un côté, long de l'autre. Il était avec Yuna, une jeune fille brune, ayant les cheveux mi-longs et portant une tenue de prêtresse. Je courus vers lui, traversant au feu rouge du piéton. Et lorsque je vis Tidus et Yuna s'en aller, je fis un grand pas, puis trébuchai. Je tombai à plat ventre sur le sol. Ils se retournèrent alors d'un coup en entendant ma cascade puis se ruèrent vers moi. " - Zidane ! s'exclamèrent-t-ils en même temps. - Zidane, ça va ? s'inquiéta Yuna. - Ouach, ça a dû faire mal...! Tu peux te lever ? me demanda Tidus en m'aidant à me remettre debout. - Haha, ça va... Désolé de vous avoir inquiétés...! - Zidane... soupira Yuna de soulagement. - Mais t'es vraiment incorrigible ! s'exclama alors Tidus. - Euh...? - Regarde-toi ! T'as l'air d'aller bien à ton avis ? Il faut désinfecter tout ça au plus vite ! gronda-t-il fixant ma peau dégradée et mon sang coulant. Bon, Yuna, désolé, tu peux rentrer toute seule...? Je vais aider Zidane à désinfecter tout ça... - Oui, il n'y a pas de problème ! - Tant mieux, mais fais tout de même attention en rentrant..." Elle nous salua, puis partit de son côté. Puis soudain, Tidus glissa son bras gauche sur mes jarets, saisit mon épaule de son bras libre, puis me souleva d'un coup sec ! " - Wouah ! m'étonnai-je. Hey, m-mais Tidus ! Qu'est-ce que tu- - Je vais te porter jusqu'à chez moi. J'habite plus près d'ici que toi, donc il serait plus judicieux de te soigner chez moi ! - Oui mais... Je peux marcher tout seul...! protestai-je, rougissant jusqu'au oreilles. Et, sentant mon sang bouiller et me monter au visage, j'enfouis ma tête dans son pull. - Zidane ?... - Ne-... Ne me regarde pas ! - Ah, comme tu veux..." Nous continuâmes notre chemin en silence, tandis que ma tête était encore enfouie dans son gilet. Son odeur sentait bon, et j'arrivais à entendre son coeur battre de temps à autre... Je me perdais dans mes pensées, imaginant déjà comment il aurait pu réagir si je lui avait dit ce que je ressentais à son égard... Il m'aurait sûrement rejeté... Sûrement... Puis des larmes commencèrent à noyer mes yeux, puis à me couler sur les joues... J'essayais de m'empêcher de trembler, mais il le sentit quand même : " - ! Zi-Zidane ? Ah ! Tu pleures ?! Où est-ce que t'as mal ?... s'inquiéta Tidus. Heureusement, il pensait que c'était la douleur qui me faisait pleurer...! - Hum, non, c-c'est rien... rétorquai-je en essuyant mes yeux et en reniflant un peu." Puis, Tidus commença à courir, en faisant attention a ne pas toucher à mes blessures. Un peu plus tard, nous arrivâmes devant son appartement. Il s'empara de ses clefs maladroitement, puis essaya de trouver la bonne. Je remarquai alors qu'il n'avait pas de porte-clefs... Il ouvrit la porte, puis me posa à terre. Je chancelai, puis me baissai pour enlever mes chaussures. Une fois cela fait, Tidus referma la porte à clef, puis me porta jusqu'à sa chambre. En entrant, je découvris une chambre mal rangée et désordonnée. Sur les murs, il y avait quelques photos de son enfance, et quelques posters. Il me posa sur son lit, puis repartit de sa chambre en courant. Il revint quelques instants plus tard, une trousse de soins à la main. Il l'ouvrit, puis appliqua un coton trempé par de l'alcool soixante-dix degrès, ce que me piqua et me fit lâcher un "Ah !" lorsqu'il l'étala sur mon genoux. Il recouvrit mes blessures de pansements, et la plus grosse d'un bandage. " - Eh voilà l'travaille ! Hm... Tu veux manger quelque chose peut-être, non ? Je vais préparer le repas, reste ici... - Merci... - Hm ? De quoi ? C'est normal de s'aider entre amis ! Il faut se soutenir dans la vie !" Il me fit un sourire, puis quitta la pièce. "C'est normal de s'aider entre amis !", c'est vrai, je devais l'avouer... Il ne pouvait pas être au courant... Seulement, supporter tout cela alors que nous étions enfin seuls tous les deux, c'était beaucoup trop pour moi... Mais j'avais peur de sa réaction, j'avais peur qu'il me rejette... Et c'est pourquoi je ne lui avais jamais rien dit à propos de mes sentiments. Je finis par me perdre dans mes pensées, puis à m'affaler sur le lit de Tidus. Je repliai mes jambes, courbai mon dos, puis finis par m'endormir. Point de vue Interne de Tidus :: Comme j'avais terminé de préparer le repas, je sortis un plateau, puis posai les plats et le riz dessus afin de le monter dans ma chambre. En entrant dans la pièce d'où m'attendait sûrement Zidane, je remarquai que le petit singe blond s'était assoupis. Je posai alors le plateau sur mon bureau, puis m'assis sur mon lit, hésitant à réveiller mon ami. Enfin, "ami"... Etait-ce seulement un ami pour moi ? Non, je le savais bien... Pourtant, je refusais de lui avouer, je refusais de lui dire que je l'aimais. Sûrement parce que je tenais trop à notre amitié... Non, c'était une excuse... J'avais... peur. J'avais juste peur qu'il me repousse car j'étais un garçon, car une telle relation ne serait pas "normale". Et, inconsciemment, je me rapprochais de lui, je me rapprochais de son visage, puis, avant que je ne m'en rendisse compte, je l'embrassais déjà... "Je suis horrible..." pensais-je tout en prenant peu à peu conscience de ce que je faisais à mon compagnon. C'est vrai, faire cela alors qu'il était endormi, c'était horrible de ma part. Mais même si je le savais, je ne pouvais désormais plus m'arrêter. Les lèvres de Zidane m'attiraient étrangement, et moi, je ne pouvais résister. Au bout d'un moment, je finis par moi aussi m'endormir, en oubliant tout ce que j'avais autour de moi. Tout, mis à part Zidane. Le lendemain matin, je fus réveillé par la lumière du jour et par les vibrations du téléphone de Zidane. J'avais des courbatures, sûrement parce que je m'étais endormi dans une mauvaise position la veille... Et puis, je me levais, la main droite sur le visage, m'avançant vers le téléphone qui vibrait. Je vis alors que c'était un appel de Bartz, et, comme la belle aux bois dormant ne se réveillait toujours pas, je me décidai à déccrocher à sa place. " - Zidane ?! Mais qu'est-ce que tu fais bon sang ?! - Désolé, Zidane dort toujours, c'est Tidus. Qu'est-ce qui se passe ? - Ah, Tidus ? Comment ça il dort ?! Mais il doit absolument venir à lécole ! Il y a les résultats des examens qui sont annoncés et il y a une super bonne nouvelle pour lui ! - Sérieux ? Je le réveille tout de suite ! - Ramène-le le plus vite possible, hein ? - Ok ! A tout à l'heure ! - 'Plus !" Je posai alors le téléphone puis m'avaçai rapidement vers Zidane afin de le réveiller. Mais mes mouvements s'arrêtèrent alors que ma main s'approchait de son épaule. Voyant son visage endormi à la peau cristalline sous les doux rayons du jour et ses longs cils et longs cheveux blonds, j'eus encore des pultions. Non, ce n'était pas bien, je ne devais pas recommencer... Je ne devais pas le toucher encore une fois alors qu'il était sans défense... Soudain, les fines paupières du garçon se mirent à bouger, et enfin à dévoiler ses beaux yeux azurs. Il se réveillait lentement tandis que je continuais de l'observer, sans me rendre compte qu'il me voyait. Je regardais et admirais son beau visage clair à moitié réveillé. C'était comme si... J'avais un ange en face de moi... C'était comme si nous nous trouvions dans une plaine et que la brise caressait ses fins cheveux or... Il me regardait, l'air innocent, et moi, je le fixais, sans détourner mon regard. J'étais émerveillé par la beauté de mon ange.