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Space
: Carnival Corpse ~ Chapitre 1
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Carnival Corpse ~ Chapitre 1 |
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Dois aller dormir, pas le temps pour intro !
(La fille sur l'image N'EST PAS celle de ma fiction, merci.)
A red-covered world / Belowen
Où suis-je ? Je ne le sais pas moi-même. Tout n’est que Vide. Qui suis-je ? Pour l’instant, à peine quelque chose, un tout petit rien. Comme si je n’existais pas encore tout à fait, ou que je n’avais pas encore tout à fait disparu, je ne saurais faire la différence. Je ne sens ni mes bras, ni mes jambes. Je ne peux pas bouger. Je ne respire même pas. Tout ce que je peux faire, c’est sentir. Pas une odeur. Je sens parfaitement une présence, quelque part dans cette immensité de Rien. C’est le genre de présence qui vous réchauffe, vous rassure, peu importe la situation dans laquelle vous êtes. Je me sens comme apaisé. Est-ce une autre personne, quelqu’un qui, comme moi, a perdu son corps et son âme ? Quelqu’un qui, comme moi, s’est perdu, et n’a d’autre choix que se rattacher à une présence ? Alors que, dans un élan de désespoir, j’essaye d’utiliser ce qui me servait autrefois de bouche pour crier, je peux tout à coup me servir à nouveaux d’un de mes cinq sens. Soudain, à peine mon ouïe recouvrée, j’entends d’affreux cris, comme des bêtes... non, des humains qu’on égorge ! J’essaye de me diriger vers la source du bruit, mais c’est impossible : je ne peux pas me mouvoir. Enfin, alors que les cris se font de plus en plus forts, ils cessent brusquement, et trois syllabes sont prononcées dans ce silence, si bien que je les entends parfaitement :
« Bé-Lo-Wèn. »
Puis, je repasse la frontière entre sommeil et éveil, et émerge de ma torpeur onirique.
Une fois tous mes sens en place et la sensation de mes draps sur ma peau retrouvée, j’ouvre les yeux. Puis les referme aussitôt.
« Theis ! La lumière ! »
-Quoi~ ? »
Mon frère, de 3 ans plus jeune que moi, ouvre alors la porte de la chambre que nous partageons, et je devine par ses paroles déformées qu’il a une tranche de pain dans la bouche.
« La-lu-mière ! Qu’est-ce qu’elle fout, allumée à cette heure ?! »
Il a presque l’air de se moquer de moi quand il me répond, en avalant sa bouchée :
« Il est dix heures passées, Math’. »
J’ai horreur qu’on m’appelle comme ça. Je hais les Maths. L’esprit encore un peu embrumé par mon récent réveil, je me redresse, et attrape en hâte ma montre, posée la veille sur ma table de nuit. Mon frère ne ment pas : il est déjà dix heures et quart. Je rabats ma couette à mes pieds, descends de mon lit en mezzanine, puis me précipite dans le salon : j’y avale un bol de céréales en à peine deux minutes, puis me rue sur la porte après avoir enfilé une tenue décente et attrapé mon sac. Ma mère me crie de revenir me coiffer, mais je suis déjà loin dans le couloir de notre immeuble.
Je m’appelle Mathias Colines, je viens d’avoir 16 ans, et je suis en retard au lycée depuis deux heures.
A mon entrée dans la classe, un tonnerre d’applaudissements. Semblant s’être mis d’accord, tous les élèves sans exception me félicitent de ce retard mémorable, qui n’a pas l’air du goût du professeur : pendant que je remercie mes camarades d’une révérence, celui-ci abat froidement un volumineux livre sur son bureau, puis se lève. Il remonte ses petites lunettes sur son nez, et déclare, d’un ton strict :
« Monsieur Colines, puisque vous aimez faire le clown, vous allez venir à mes côtés. Allez-y, n’ayez pas peur ! »
Déglutissant, je retrouve mon sérieux, puis me dirige vers lui. Une fois droit comme un I à sa gauche, je tourne lentement la tête vers mon tortionnaire, qui annonce alors à toute la classe :
« Maintenant, votre cher camarade va me raconter tout ce qu’il sait de la présence française au sein de l’Union Européenne et dans la mondialisation. »
Tandis que je sens la sueur couler le long de ma nuque, je balaye la classe du regard : alors que certains semblent avoir déjà perdu le peu d’intérêt qu’ils avaient pour ce cours, d’autres compatissent vraiment à ma douleur : ils me regardent, presque aussi stressés que moi.
Je déglutis une seconde fois, et ouvre la bouche pour commencer à parler. Mais aucun son n’en sort. Ou plutôt, je ne l’entends pas : ma vision se brouille, je sens mes muscles se lâcher, puis c’est le noir total.
Narcolepsie…
Un trouble du sommeil qui provoque des fatigues passagères et des crises d’endormissement…
J’en souffre depuis tout petit, mais j’ai vraiment commencé à m’endormir inopinément depuis mon entrée au lycée.
Lorsque je rouvre les yeux, quatre têtes familières se penchent vers moi. Ma vision est encore floue, mais je reconnais instantanément les quatre personnes qui me sont les plus chères au monde, mes meilleurs amis, ceux avec qui je passe le plus clair de mon temps. Les trois garçons se ressemblent, dans le sens où ils ont la même couleur d’yeux et de cheveux, respectivement marron et noirs. Bien sûr, ils sont diamétralement opposés dans leurs caractères : Gutany est d’une mauvaise-foi constante et aime nous embêter, mais il peut parfois se révéler très mature. Thoyo est borné et critique, mais aime plaisanter. Enfin, Dussy peut paraître froid et étrange, mais est en fait un véritable passionné. Ensemble, nous formons le groupe d’amis le plus bruyant mais aussi le plus secret du lycée : il ne se passe pas une seule pause intercours sans que l’on ne nous voit nous chamailler ou lancer de véritables duels argumentatifs.
Ah, oui, j’ai failli oublier la seule fille du groupe : nous l’appelons Piluu. Lunatique et assez susceptible, elle fait parfois preuve d’une grande affection pour moi ou Thoyo, entre qui elle imagine de folles aventures amoureuses dans des moments de délire complet pendant lesquels ses yeux brillent. Inutile de dire que nous protestons à chaque fois.
Une fois ma vision complètement rétablie, je me redresse dans mon lit. Dussy en profite pour me raconter ce que j’ai manqué :
« T’aurais dû voir la tête du professeur, il a vraiment paniqué ! »
Si nous pouvons rire de ma maladie de bon cœur, c’est car, maintenant que mes crises se font de plus en plus fréquentes, ces quatre-là se sont habitués et ne s’inquiètent plus : ils savent que, de toute façon, personne ne peut rien y faire.
N’ayant pas besoin de repos après une crise, je peux sortir aussitôt de l’infirmerie dans laquelle ils m’avaient transporté. J’apprends que j’ai dormi à peine une heure, puisqu’ils viennent de sortir du cours d’Histoire Géo et sont passés prendre de mes nouvelles avant d’aller au cours suivant. Mathématiques. Dussy plaisante encore :
« Alors, Math’, prêt pour un peu de Maths ? »
Je ris jaune. Il sait pourtant que je déteste ce surnom débile dont Thoyo m’affuble depuis que nous nous connaissons, c’est-à-dire… seize ans.
Alors que nous nous dirigeons vers la salle où nous avons notre prochain cours, je sens soudain mes paupières devenir lourdes. Encore une crise ? Elles ne sont pas si rapprochées, d’habitude. Mes jambes fléchissent, et je m’appuie contre un mur en me tenant la tête. Non, c’est autre chose que la narcolepsie : une horrible migraine m’empêche de réfléchir correctement. Alors que je veux lever les yeux vers mes amis pour leur dire de ne pas s’inquiéter, que c’est passager, je remarque qu’en plus d’onduler dangereusement, les murs sont teintés de rouge, comme si du sang les recouvrait. Ne comprenant absolument pas ce qui se passe, et complètement affaibli par le mal de crâne, je me laisse glisser à terre jusqu’à me trouver adossé à un mur. Le sang bat à mes tempes, et mon cœur s’emballe. Ma respiration se fait difficile. Je ferme les yeux, espérant que ça passe rapidement. C’est alors qu’un bruit semblable à une explosion retentit au loin, dans le deuxième bâtiment. Je m’apprête à me lever lorsque quelque chose vient s’écraser contre le mur sur lequel je m’appuie, quelques mètres devant moi. La poussière s’évapore, et je vois alors que le projectile est en fait… un corps ?! Il a volé depuis l’autre bout du couloir ? Comment a-t-il pu faire un impact aussi important sur le mur ?? Et surtout, qui est-ce ?
Comme pour répondre à ma question, la personne lève la tête. Mon cœur rate alors un battement : c’est une fille. Plutôt jolie. Non, carrément magnifique, si on oublie la poussière de plâtre sur ses joues : elle a de longs cheveux bruns ondulés qui tombent sur son épaule droite, de profonds yeux gris-verts dans lesquels pétillent une étincelle de détermination. Elle a beau porter un pull bleu sali par les gravats et un jean troué, cette fille parvient à arrêter mon regard durant plusieurs dizaines de secondes. Quand, enfin, elle tourne la tête vers moi, je retrouve mes esprits, et me rend alors compte que son visage m’est étrangement familier. Je la connais, c’est sûr, mais d’où ? Elle n’est pas dans ma classe, c’est sûr. Je ne l’ai jamais vue au club de tir à l’arc que je fréquente. Ce serait au groupe de réunions catholiques auquel je me rends tous les Vendredis soir ? Il y a plein de têtes sur lesquels je ne saurai mettre un nom, mais un visage comme le sien m’aurait marqué. Où l’ais-je déjà vue, alors ? Un simple coup d‘œil au détour d’un couloir ne m’aurait pas laissé un souvenir aussi… important…
Alors que je m’apprête à ouvrir ma bouche pour lui demander son nom, elle détourne son regard de moi, et le fixe sur quelque chose que je ne peux voir de là où je suis : elle regarde à l’autre bout du couloir perpendiculaire au mien. Je la vois remuer imperceptiblement les lèvres, puis elle se lève et tend son bras droit, écartant sa main droite. Et, là, contre toutes les lois de la physique, un fusil se matérialise devant sa main dans un tourbillon de point bleus lumineux. Elle s’en saisit lorsque la crosse est finie, puis le pointe vers sa cible, et appuie sur la détente. L’arme produit alors une explosion beaucoup trop grande pour son calibre, et explose en d‘innombrables lumières bleutés, tandis que le recul de ce coup de feu hallucinant la colle dos au mur. Ne comprenant pas du tout ce qui se déroule sous mes yeux, je ne peux bouger, et-ce encore moins lorsqu’une force mystérieuse soulève la fille par la gorge. Cette dernière a beau se débattre, rien n’y fait, impossible de faire lâcher prise à ce… cette… qu’est-ce que c’est ?!
Enfin, comme si ce monde détraqué voulait m’enfoncer dans un état d’incompréhension encore plus profond que celui dans lequel je me trouve, des cris puissants parviennent à mes oreilles. Je ne sais pas qui les pousse, mais cette personne a l’air de souffrir le martyr. Je me couvre les oreilles en tremblant, ne pouvant endurer plus grande douleur. C’est alors que, comme dans un cauchemar éveillé, trois syllabes sont prononcés clairement à mon intention :
« Bé-Lo-Wèn. »
J’ouvre alors les yeux. Je suis au milieu du couloir, rempli d’élèves curieux et de professeurs inquiets, qui tentent tant bien que mal de maintenir un semblant de calme. Puis, aux yeux horrifiés de certains, je comprends enfin d’où venaient les cris de souffrance que j’ai entendus : c’étaient les miens.
Au coin du couloir, je crois apercevoir la silhouette de cette fille, et trois syllabes ressurgissent dans mon esprit.
Bé.
Lo.
Wèn.
Voilà, j'espère que vous avez apprécié malgré la longueur et le début un peu bancal...
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Carnival
Corpse
Chapitre
1
(29)Commentaires
Posté le 08 Jun 2013, 23h 04min 17s par
Space
Commentaires
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PikabIu
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@ 08 Jun 2013, 23h 52min 02s
Raaah qu'est-ce que j'adore tes fics <3
Elle est pas si longue que ça, on la lit rapidement
Nan sérieux elle est géniale <3
Need la suite *-*
Smash
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@ 09 Jun 2013, 13h 43min 44s
Même avis que LC. :)
Raver
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@ 09 Jun 2013, 14h 38min 21s
Not bad.
Boutin 2017
Blood
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@ 09 Jun 2013, 15h 02min 19s
Very good ^^
PikabIu
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@ 09 Jun 2013, 18h 23min 34s
J'suis vraiment pressée que tu sortes d'autres fics, j'adore vraiment comment t'écris
Je te le répète mais bon c'est tellement roxxor <3
Axew
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@ 09 Jun 2013, 19h 06min 06s
Bravo pour cet article, vraiment pas mal.
Phelwyn
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@ 09 Jun 2013, 20h 48min 34s
Yeyy, ça faisait un bout de temps que t'avais plus posté de fic x)
Space
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@ 09 Jun 2013, 21h 00min 55s
Oh bah merci pour tous vos commentaires encourageants :D !
Slash
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@ 09 Jun 2013, 23h 14min 03s
J'aime beaucoup :3
Vivement la suite *^*
Je
direct ;3
Black_Kitsune
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@ 09 Jun 2013, 23h 20min 10s
Pas mal :o
Cain
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@ 09 Jun 2013, 23h 31min 39s
Nice^^
Sinon... HEADLESS MAMI! Ah, ben non, elle a une tête(la fille)...
Et quand j'ai vu corpse, j'ai pensé à Corpse Party... M'enfin bref, c'était bien!
Space
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@ 10 Jun 2013, 13h 08min 58s
Merchiii :3
Hinamorie, Carnival Corpse est un terme que j'ai emprunté à Deadman Wonderland :$
PikabIu
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@ 10 Jun 2013, 21h 13min 42s
Moi Carnival Corpse ça m'a fait pensé à Cannibal corpse x)
Ah et fais gaffe dans les mots clés t'as mis "Carnivale"
Black_Kitsune
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@ 10 Jun 2013, 22h 28min 55s
C'est Little Busters! refait, quand j'y pense , avec Nichizono et la Narcolepsie X)
Pas très original tout ça, tss tss tss.
(mais c'est bien écrit)
Space
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@ 10 Jun 2013, 22h 32min 12s
Dafuq ?
Nichizono ? La fille au parapluie ? D'où tu vois une ressemblance entre Nichizono et la fille O_o ?
Et la narcolepsie, effectivement je m'en suis servi comme Riki, mais ça va avoir une importance !
Slash
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@ 10 Jun 2013, 23h 11min 31s
LordChatta > J'ai lu Cannibal Corpse et non Carnival Corpse x)
PikabIu
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@ 11 Jun 2013, 18h 15min 48s
Slash > C'était prévisible :')
Yassou
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@ 11 Jun 2013, 22h 51min 38s
@ptt -> idem :')
Blood
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@ 12 Jun 2013, 12h 57min 21s
GG ^^
Black_Kitsune
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@ 13 Jun 2013, 11h 57min 49s
Parce que Nichizono est oublié par tout le monde et y'a tout un débat sur Riki qui essaye de pas oublier.
Mais c'est vrai que c'est assez éloigné ^^"
Space
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@ 13 Jun 2013, 14h 27min 28s
J'aurais sûrement du continuer l'animé avant de poser cette question *s'est fait spoiler*
Remarque l'histoire de Nichizono je m'en fout, moi celles qui m'intéressent sont Komari, Saya et Rin.
PikabIu
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@ 13 Jun 2013, 22h 01min 43s
Space > Il vient d'où ton titre d'ailleurs ?
Space
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@ 13 Jun 2013, 22h 30min 12s
Des prochains chapitres :3
Dialtime
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@ 14 Jun 2013, 11h 55min 51s
Faute au 3ème paragraphe : "qu’ils avaient pou
t
ce cours"
Sinon c'est pas mal.
PikabIu
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@ 14 Jun 2013, 20h 14min 04s
Space > oh oh oh je suis pressée de lire la suite alors
(Oui je sais je me répète)
MetalDragon
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@ 15 Jun 2013, 14h 02min 16s
Space remplit le blognew x)
Space
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@ 15 Jun 2013, 15h 34min 55s
Bah c'est que j'écris vite X3
MoonWolf
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@ 16 Jun 2013, 09h 42min 27s
ça ressemble vachement à canibal corpse qu'est un groupe de métal :$
Usagi-chan
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@ 23 Jun 2013, 07h 30min 47s
C'est toujours passionnant de lire tes fic's :D j'ai hâte de voir la suite :3!