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Ah, les Pokémon, ces créatures mystérieuses que tout le monde aime... Tout le monde? Non! Certaines personnes s'entêtent encore et toujours à trouver des signes sataniques dans le monde de ces créatures, faisant même passer le jeu pour une secte... Ces personnes se basent cependant sur des fruits du hasard, assez nombreux il faut l'avouer, comme la ressemblance entre certains Pokémon et des signes sataniques. Il y a aussi bon nombre d'étoiles dans les Pokémon, comme celle sur la tête de Kadabra, mentionnée auparavant, et aussi les Pokémon Stari et Staross, faisant penser au pentagramme des cultes sataniques : Mew, Pokémon emblèmatique de la série s'il en est, est lui aussi considéré comme à allusion satanique. Son nom était composé de lettres ressemblant à des tridents, et son numéro (151), au bout de multiples opérations, se transformait en 666 (chiffre du diable). Les symboles sont les principales bases sur lesquelles reposent toutes ces accusations. Encore une fois, un symbole, une croix gamée inversée cette fois, aurait été aperçue sur une carte Pokémon. Nintendo affirme cependant que la présence de la croix gamée est la représentation d'un symbole hindou et bouddhiste, n'ayant aucune connotation négative. Mais l'anti-Pokémania va plus loin, prétextant même que le jeu éloigne les enfants de leurs parents. Le fait d'entraîner et de faire évoluer les créatures donne l'impression que tout est transformable, malléable, et banalise l'utilisation des OGM et la pratique du clonage. La domaine des sectes est aussi abordé par ces personnes, car selon elles, le phénomène crée des groupes de fans et incite les enfants à penser d'une seule et même manière, comme dans une secte. Les créatures inciteraient aussi à la convoitise, dressant les personnes entre elles. Mais bon, on a tous bien convoité quelque chose un jour... Nintendo s'est empressé de démentir toutes ces accusations, disant qu'elles ne sont pas fondées, mais il y a fort à parier que ces anti-Pokémaniaques reviendront à la charge dès qu'ils en auront l'occasion.