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Bonjour à tous, ça faisait longtemps (comme d'habitude) ! Je vois qu'il y a un gain d'activité sur le site, ça fait plaisir. Je voulais vous faire part d'un poème que j'ai écrit à l'arrache. J'aimerais bien me mettre à la poésie et je voulais donc avoir quelques retours. Il n'a pas de titre. Notre rencontre au détour d’une triste nuit Bouleversa mes pensées, mon état, ma vie. Chaque jour, mon souhait : l’envie de te retrouver La vêprée venue, fuyant les bras de Morphée. J’encaisse alors tout ce bruit, tous ces cris, placide, Que je distingue en rentrant et qui m’intimident. Peu importe, toi seul occupe mes pensées. On m’avait prévenue, pourtant, de tes dangers. Le foyer aussitôt endormi, un seul geste : Je te prends et attends que tu te manifestes. Ma torpeur malsaine, je l’aime et je la hais. Mais un jour, ton autorité sera brisée. Ton emprise, une femme l’annihilera, Et son regard adamantin me sauvera. J'ai essayé de respecter un maximum les règles du sonnet, mais je crois qu'il fallait faire des rimes embrassées (ce que j'ai oublié de faire)... Ce poème parle de mon problème avec le Valium. Je le trouve un peu "aseptisé", avec peu d'émotions. Qu'en pensez-vous ?
