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Yo ! J'avoue que j'ai pas vraiment le courage d'écrire en ce moment alors voici quelques poèmes que j'ai écris ! bonne lecture ! Le premier poème a été écris pour un concours dont le thème était la Bretagne. Je devais faire 20 vers maximum.Il date d'octobre 2016 je crois ! Goutte Elle respire de beauté, Et glisse doucement, Cette goutte salée, Aux soupirs d'antan. Elle caresse les longères, A l'heure où les bougies, Chassent les sorcières, Dans des rêves infinis. Elle se plaque à la fenêtre, Et regarde doucement, Une jeune brume naître, Puis le réveil des enfants. Elle s'écrase sur le granit, Et observe la maman, Qui borde avec mérite, Et le sable et les enfants. Elle glisse jusqu'au champ, Là où le père brave les coulées, Et travaille activement, Pour un pays dépaysé. Le deuxième est un vieux poème que j'avais écris sur un coup de tête il y a 3 ans. Misérable. Dans la ville petite, Sur la place Mérite, Un enfant triomphant, Sur le bûcher ardent. Des regards choqués, Et des cris affolés. L'enfant puni, Dont on voulais prendre la vie, était arrivé penaud, Tout droit sorti du cachot. C'est alors qu'une femme, En brandissant notre tricolore, Cria de toute son âme, D'une voix roque et or :" Misérable ! Car c'est autrui, Le voila privé de vie ! Misérable ! Car il est blanc ou noir, Ce n'est qu'un bâtard? Misérable ! Regardez cet enfant ! Il n'a même pas 8 ans ! Misérable ! Car vous croyant fort, On l'attaque quand il dort. Lui Misérable? Rire Misérable ! Sourire Misérable ! Homme Misérable ! Pour une question de mains, Il n'a pas de demain, Si misérable. Pourquoi peur de l'enfant? Pourquoi peur d'un gênant? Misérable ! Comprenez ! Qu'à cette heure ci, Ce gamin averti, Devrai s'amuser ! Il n'est pas droitier, Il n'est pas fort, N'est pas blanc. Mais race humaine faite, Peine de mort résolu, Je demande ! Vous êtes Misérable. Je suis Misérable. Il est Misérable? Nous sommes Misérables ! Tous se retournèrent. Tous la regardèrent. Et l'enfant meurtri, Leva sa tête et sourit, Tous applaudirent, Tous rirent Mais la femme et l'enfant furent tué, Tout comme notre chance de fraternité. Ils ne demandaient qu'une chose ! Non pas l'overdose, Mais que toi, Injustice, Tu apprenne qu'il existe, Dans la vie quelque fois, Des misérables, Qui changent.