Blog de Princ: Chapitre 4 : Kimoko

C’était en Septembre. J'ai mis mon uniforme et pris mon cartable. Le petit déjeuner était prêt. Je le mangeai en vitesse et couru prendre mon vélo. Mes amis m’attendaient devant le garage.
…
Mes copains étaient devant avec leurs petites amies. Mais les chinoises ne m’intéressaient pas. J’avais toujours rêvé d’épouser une étrangère. Après être sortis de mes pensées, je dis bonjour à tout le monde. La journée s’annonçait merveilleuse avec son grand ciel bleu. Mais lorsque j'allais rentrer dans le grand bâtiment en béton qu'était notre école, la ville fut plongée dans un noir total. Il n’y avait pourtant pas d’éclipse de prévue ! Ce qui cachais le soleil si brillant criai, comme s'il était énervé, impatient, irrité. On aurait cru l’entendre parler. Tout commença a brûler d'un coup, sans explication, comme un sort, comme par magie. Les arbres du parc, les animaux ainsi que leurs maîtres, les habitations et les bâtiment… je parti me réfugier dans l’école. Je me glissai sous l’escalier. J’entendais crier, pleuré, courir. Tout cela me laissait imaginer sans problèmes le massacre auquel j’étais en train d’échapper. Je ressenti un tremblement et senti l’école s’écrouler. Je fermai alors les yeux.
…
Il faisait nuit quand je me sorti enfin des débris. Je regardai autour de moi, en ne voyant que des corps calcinés et des bâtiments écrouler. Cela ne ressemblait plus à mon école mais a un champ sanglant. J’entendis marcher. Il y avait plusieurs personnes. J’eus peur et parti me cacher. Je sentais une aura démoniaque venant de l'une des trois personnes, celle a la cape bleu. Elle était puissante, dévastatrice, et très inquiétante. Alors je parti pour frapper de surprise ce personne mystérieuse qui observais le corps de ma meilleure amie. Mais avant même que mon poing n’ai atteint sa tête, elle se retourna et pointa son épée vers moi. Elle marmonna des choses incompréhensibles et je fus prit part le cou. Elle eut un sourire en coin et me dit en me transperçant de ses yeux vert : « ce n’est pas ainsi que l’on accueille des sauveurs. Ce n’est pas ainsi que l’on traite des étrangers… et encore moins une fille ! » La personne a la cape noir se retourna. Je tombai au sol. La personne à la cape jaune dit : « Gwen ! Fais attention ! Tu aurais pu le blesser. Ça aurai été dommage.
-Ne t’en fais pas, il n’a pas à m’attaquer, et je sais utiliser une épée ! dit la fameuse Gwen.
-Ne t’inquiète pas Gwendoline. Je te fais confiance. Dit la personne à la cape noire en s’approchant de Gwendoline.
-Arthur, Flavia ne le fais pas, elle ! nous sommes une équipe ! lui répondit-t-elle sur un ton agacé. »
Flavia me dévorais des yeux. Je plongeai les miens dans les siens et nous restâmes à nous fixer assez longtemps. Arthur et Gwendoline, qui s’impatientaient, dirent : « nous partons visité un peu la région, nous reviendront au lever du jour. Vous restez ici, faites un feu, manger, dormez. Demain, nous repartirons en France. »
Nous acquiesçâmes et remarquèrent qu’ils partirent main dans la main. Ils devaient bien s’apprécier. On les regarda partirent sur la route. On parla pendant deux heures près du feu qui nous réchauffait. Flavia fini par poser sa tête sur mon épaule et s’endormit. Alors je lui caressai les cheveux et m’assoupit.
…
Il était 8h00 quand je senti une douce odeur me caresser le nez. Je me réveillai et regarda autour de moi. Toujours le même spectacle. Gwendoline me sourit et me salua. Arthur n’étais pas là. Alors je lui demandai : « tu viens d’où ?
- De France, dit Gwendoline en regardant le ciel.
- C’est loin ? lui demandais-je.
- Très loin. Me dit-elle en me tendant un pain au chocolat. Mange, ça te fera du bien.
Merci. lui dis-je avant de mordre dans la pâtisserie. »
Elle me regarda manger en souriant. Arthur vint s’asseoir à côté d’elle et la regarda. Ses yeux brillaient d'émerveillement et de toutes sortes d'émotions différentes. Elle posa sa tête contre l'épaule de notre ami aux cheveux blond et soupira. Sa peau claire et ses cheveux blond platine se démarquait contre le teint bronzé et les cheveux couleur de blé d'Arthur. Ils allaient merveilleusement bien ensemble, avec leurs yeux claires, leurs doigts fins, leurs corps svelte. Le regard vert d'eau malicieux de Gwendoline coulait dans celui bleu ciel et doux d'Arthur. Leurs pommettes rosées, leurs cheveux lisses et parfait, les longs cils et les lèvres pulpeuses de mon amie française me laissait penser qu'elle venait d'un monde parallèle, et qu'elle n'était pas humaine. Arthur aussi semblait trop parfait pour être vrai. La blancheur de leurs dents quand ils souriaient jusqu'à la perfections de leurs traits les rendaient féeriques. Cela m’empêchait de voir l'aura démoniaque qu'émanait Gwendoline un peu plus tôt. Elle rougit un peu et pinça la joue d'Arthur en lui tirant la langue. Ils commencèrent à se chamailler gentiment. Flavia se leva et me fit la bise avant de les regarder et de prendre un air pincé. Ils se relevèrent et se recoiffèrent de manière synchrone, ce qui m'avait bien fait rire. Gwendoline fini par sauter sur le dos d'Arthur qui la serra contre lui et elle dit : « Ne perdons pas de temps pour retrouver mon beau pays. »