Blog de Princ: Chapitre 3: Gwendoline

Juin 2021. Il faisait beau. Nous étions samedi et j’avais gala. Il était 11h00 et je me préparais. Plier, arabesque, je devais être parfaite pour cette après-midi. Ma mère me regardait danser. Elle m’applaudissait. J’avais chaud, très chaud. C’était difficile de dansez par cette chaleur. Très difficile. Pendant ma pause, je regardai la température de dehors. 33°c. Ma tête me faisait mal. Mais malgré ça, je gardais en tête d’être la meilleure du gala. L’après-midi, à 13h00, je parti à pied à l’opéra.
…
Alors que je marchais dans la rue en regardant mes partitions de piano, j’entendis crier. C’était un cri assourdissant. Cela ne ressemblait pas à un cri humain mais plutôt à un rugissement. Puis il y eu une rafale de vent qui me plaqua au mur. Assommer, je m’évanouis. Je me réveillai le lendemain matin et remarquai que mon tutu était déchiré. Mes chaussons étaient brûlées. Quand je me levai, je vis la ville sans dessus-dessous, des immeubles étaient écrouler, les voitures écrasez. Je dis alors : «  papa est revenu me chercher. » Je reparti donc chez moi, du moins chez mes parents adoptifs. Mais quand j’arrivai au portail noir de la maison, je vis quelle étais en parti écrouler. Je couru voir au salon si ma mère adoptive étais là. Le piano était cassé. Je vis quelqu’un sur le canapé. J’eus une lueur d’espoir. Je touchai l’épaule de la personne qui toussa. Alors je vins la voir, elle était en très mauvaise état. Je lui dis : «  maman ! Ne t’en fait pas ! Je vais te soigner !
- Ma puce… ne t’inquiète pas pour moi, il est temps que tu retournes avec ton père… il te cherche… dit ma mère adoptive avant de succomber. »
Je pleurai et couru chercher de l’aide. La ville était déserte, et les personnes que je croisais n’étaient que des cadavres. J’empruntai un vélo. Puis parti chercher de l’aide dans le pays.
…
Un beau jour où je parcourais la Bretagne en vélo, je vis deux personnes au bord de la route. Je pédalai vers eux, pleine d’espoirs. La personne à la cape noire se retourna. Celle à la cape jaune fit de même avec surprise. Ils se levèrent. Arriver à eux, j’eus l’impression qu’ils m’attendaient. Ils enlevèrent leurs capuchons. Je vous vue alors, Arthur et Flavia. Quand je descendis de mon vélo, Flavia me pris dans ses bras. Arthur me regardais avec admiration. Nous fûmes tous deux vite gêné et Arthur passa à la suite : «  Bonjour, je suis Arthur. Et voici Flavia. Je pense que toi aussi, tu as dû être attaqué par le dragon. » Je fi oui de la tête. Mes ampoules saignaient. Flavia les soigna alors sans aucun mal. Mais je n’étais pas impressionner. Arthur poursuivi : « je vois que n’a pas été impressionné. Tu es spéciale. Que sais-tu faire ?
-Mon père biologique m’a appris la magie quand j’étais toute petite. Je sais très bien soigner et lancer toute sorte de sort. Répondis-je.
- Comment s’appelait ton père ? me demanda Arthur, intéressé.
- Il s’appelle Karizis… dis-je en hésitant. »
Arthur fi de grand yeux et alla pour me serrer dans ses bras mais se retenu. Flavia le remarqua et pris un air pincé. Il me semble qu'elle l'aimait bien. Je les emmenai donc dans un cimetière. Puis je marmonnai quelque chose et dis : « la cloche va sonner.
- C’est impossible, tu es trop loin pour la contrôler. Répondis Flavia avec tact. »
La cloche sonna. «  C’est impossible ! cria Flavia
-Si, c’est possible. Tu connais donc ce type de magie. Mon maître avait voulu me l’apprendre mais je n’aie jamais réussi. Il me disait que sa fille qui avait disparu savait très bien le faire.  dit Arthur avec intérêt. »
Je souris et rougie. Arthur souris, me pris les mains et me dis : «j'ai enfin réussi ma quête » je le pris dans mes bras. Je comprenais. Mon père l'avais kidnappé, il avait du me remplacer. Pour lui, j'étais un monstre et pourtant, son disciple était là aujourd'hui pour me rencontrer. Je devais l'aider, je devais tenir ma promesse, je devais lui prouver que je ne voulais pas blesser mon père. Je regardai Arthur et lui demandai : «  peux-tu venir avec moi un instant s'il te plaît ?
- bien sur, je te suis. Me répondis-t-il. »
on parti plus loin sur la route, de sorte à ce que Flavia ne puisse pas nous entendre. Je commençait : «  mon père a-t-il été mauvais avec toi ?
- non, il a toujours été correct, il me traitait comme un fils. Enfaîte, comme si je t'avais remplacé. Me répondis Arthur.
- il t’envoie me chercher, c'est ça ? Je ne veux pas retourner avec lui, je ne veux pas lui faire de mal, ou libéré le monstre enfui en moi. Dis-je a Arthur.
- ne t'en fais pas, je serais là pour te protéger. Me répondis-t-il avant d'embrasser mon front et de retourner avec Flavia. »