Blog de Princ: Chapitre 2 : Flavia

C’était un août 2021 assez sympa. Il faisait beau et chaud. Mon père fumait sur la terrasse en lisant le journal. Pas trop réveiller, je déambulais dans la maison. Je cherchais un coin calme pour lire. Je vis le figuier qui était de l’autre côté de l’étang. Je m’étendis sur l’herbe à l’ombre. Il faisait plus chaud que d’habitude. J’enlevai ma robe, il faisait tellement chaud. Je pris une figue et la mangea. Elle était sucrée. J’allais me remettre à lire quand il commença à pleuvoir. Non, ce n’étais pas de l’eau mais quelque chose de brûlant. Je couru vers la maison. J’allais ouvrir la porte quand je senti un souffle insupportable derrière mon dos. J'allais me détester. Je fis la plus grosse connerie que ma curiosité maladive m’ait fait faire, je me retournai.Une grande bête me balança contre le figuier.. Je sentais mes os se broyer à chaque coup que je recevais. Je perdu connaissance. J’aurai du mourir.
…
Je me réveillai une nuit. La maison était silencieuse. Je n’arrivais pas à me lever. Mais j’avais faim et soif. Une figue me tomba sur le nez. Je commençai à saigner. Mais je n'avais pas le choix, je mangeai la figue, qui avait un goût amère. Son jus me désaltéra. Quand j’eu terminé de manger, je regardai les étoiles. Elles étaient belles et leurs lumières me berçaient. Je restai 3 jours comme ça. Mais mon sauveur fini par arriver. C’était toi. Je te racontai tout. Le dragon, la souffrance, cette pluie brûlante. Alors sous ta cape noire, tu souri, comme si me récit te convenait. J’étais loin de me douter que toi-même, tu avais connu ce dragon. Mais surtout qu’il t’avait élevé après avoir tué tes proches. D’une voix hésitante, tu récitas des mots. Je me sentais renaître. Puis tu me pris la main. J’arrivais à bouger, je pouvais me lever. Tu enlevas ton chaperon et te présenta, Arthur. Tu disais être de Espagne.
…
Après t’avoir observé longuement, je remarquai une cicatrice sur ton visage. Elle était grande. En voyant mon inquiétude, tu rougi, l’air embarrasser et tu dis : «  bon, si tu as été épargné par le dragon, c’est que tu es spécial. » puis tu pris un couteau de sous ta cape et te coupa la pomme de la main. Horrifié, je posai la mienne dans la tienne et ta blessure disparu. Alors tu me serras dans tes bras et tu me demanda : «  veux-tu m'aider dans ma quête ? Je recherche quelqu'un.
- je n'ai rien de plus intéressant à faire, alors allons-y. »