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Hoy tout le monde ! Alors au lieu de bosser sur la réécriture d'Autrui (... ça fait trois ans que je n'ai pas revu ce texte... je ne me souviens presque plus comment je voulais le continuer xD) j'ai décidé de vous donner encore plus de travail ! Je publie enfin ici un texte un tant soit peu sérieux même si cela reste dans la catégorie des délires. J'ai souvent parlé de mes parties de jeu de rôle et pensais qu'il serait bon de poster ici un texte en rapport avec. Je l'ai écrit il y a un mois donc il est assez récent. J'espère que celui-ci vous plaira plus que le précédent... ^^' Bonne lecture ! Tout commença un soir comme un autre dans la paisible ville de Qualend. Il devait être, au bas mot, vingt heures. L'air se faisait froid et s’engouffrait dans les maisons à colombages de la bourgade. Dans cette paisible soirée, on pouvait entendre le bruit des sabots de chevaux de voyageurs sur les pierres constituant le chemin principal. Trois jeunes hommes d'origines fortes différentes rentrèrent dans la taverne des " Quatre Boucliers " après avoir attaché à une barrière en bois leurs montures. A peine arrivé, le cadet du groupe, un fringant gamin d'à peine 20 ans au visage carré et aux cheveux bruns repliés en arrière, s'approcha du comptoir, éclata son poing contre le dur meuble de bois, et déclara d'une voix se voulant amicale mais qui ne sonnait guère comme il l'aurait pensé : « Trois cocktails de la fournaise, mon brave ! » Ne répondant pas, le tavernier s'est juste détourné chercher cet alcool connu pour sa puissance. Les personnes assisent autour du bar se remirent vite de cette soudaine interruption et reprirent ce qu'ils étaient en train de faire pendant que les nouveaux arrivants s'installaient sur trois tabourets autour d'une table de bois ronde. Très vite, une nouvelle ambiance se mit en place entre les aventuriers quand arriva à leur table leur commande. Bien que le benjamin, un haut-elfe d'à peine quelques années habillé selon les traditions de son propre village, ait clairement refusé de boire une seule goutte de ce breuvage, ses aînés, principalement le garçon ayant commandé les différentes boissons répondant au nom de Nicolas, l'encourageait à voix haute. Forcé par ses compagnons, il soupira et porta avec hésitation la chope à ses lèvres avant d'être pris d'une quinte de toux. Les deux plus âgés, quant à eux, qui avaient bu l'entièreté de leur pitance d'une traite, commandaient une seconde tournée. Morgan, car tel était le nom de ce jeune elfe, restait avachit sur la table, légèrement alcoolisé par l'unique gorgée qu'il eut le courage d'avaler. Sa main droite retenait sa tête, parcourant ses cheveux tandis qu'il traçait un sillage infini du bout de son doigt sur la table où trônait une forte odeur d'alcool. Pendant ce temps, ses compères déblatéraient sur des imbécillités, l'un plus embrumé que l'autre. Cet autre, non évoqué jusqu'alors, était un demi-humain, croisement non parfait entre un humain et un bouc. Cela pouvait se voir aux cornes qu'arborait fièrement l'hybride et à ses jambes, semblables à celles d'une chèvre. Pourtant, aucun autre signe distinctif n'était visible sur son corps outre ces dits appendices. Le nom de ce satyre n'était autre que Roméo. Alors que les chopes s'accumulaient sur la table, en même temps que leur note, du mouvement se fit à l'arrière de la salle. Une bataille d'ivrogne somme toute. Rien de véritablement intéressent... Enfin, c'est ce que se dirait un humain lambda et bien portant. Or, nos aventuriers, après une demi-douzaine de cocktails ne faisaient pas partis de cette catégorie. Se levant d'un pas chancelant, Nicolas pointa du bout de son godet la scène. D'une voix qu'il ne pensait pas aussi pâteuse, il commanda à ses compatriotes de charger dans l'amas de la foule. Très vite rejoint par Roméo qui marchait tout de même plus droit que lui, il sortit ses gants ignifugés en cuir avant de courir vers la troupe s'excitant à l'autre bout du bar. Avant même que ces derniers ne comprennent ce qu'ils leur arrivaient, ils furent agressés par un homme paré d'une longue veste noire tombant peu à peu de ses épaules et par un satyre dont l'habit de mage semblait être froissé et teinté par l'alcool. Ces deux derniers crièrent à plein poumon, malgré l'ivresse, leur cri de guerre fétiche : « SPARTA !! » Sans attendre, Roméo, cornes en avant, chargea l'un des hommes dans la mêlée. C'était un homme blond de grande taille qui semblait fort surpris en sentant une soudaine douleur dans son bas ventre. Il s'écroula à terre, presque agonisant, se tenant les côtes d'une force qui ne devait que lui faire d'avantage souffrir. Le demi homme se releva, quelque peu étourdi mais en bonne santé, si son problème d'ivresse n'en était pas un. Nicolas, de son côté, s'amusait à frapper, tels de vulgaires sacs de sable, ses adversaires. S'il y a bien quelque chose dont il était fier, c'était bien sa force naturelle et sa dextérité qui étaient suffisantes pour envoyer au tapis un adversaire bien plus grand que lui. Alors qu'il plaquait au sol un énième barbare, réputés pourtant pour leur justesse en combat, et que Roméo tentait une seconde charge sur un nain qui était, ma foi, bien trop petit pour se prendre l'assaut de ses cornes, Morgan, lui, regardait dans le vide en soupirant... N'avait-il que cela à faire de la journée ? Il pourrait, par exemple, aller prendre différentes requêtes auprès de sa guilde ou, encore, dans un autre registre, demander quels sont les spécialités culinaires locales. Effectivement, il n'avait encore jamais visité la ville de Qualend, en Erganza. Originaire d'Armmer, il n'a jamais eu l'occasion de se rendre en ces terres. Avec la rencontre de ses deux amis de voyage, l'un ayant vécu son enfance lui aussi en Armmer dans une communauté nomade et l'autre né dans les contrés dangereuses de Darnand, il a pu explorer Erganza, ce royaume se situant au centre du continent de Mire. D'après ce qu'il y a observé, les plaines y sont verdoyantes, les forêts florissantes et l'eau des lacs, vide de toute impureté. Quant aux différents villages dans lesquels ils ont fait escales jusqu'alors, c'est un mélange parfait entre nature et civilisation. Les habitants y sont amicaux et ne posent pas de questions quant aux raisons de leur arrivée en ces lieux... Il est chaleureusement accueillit en ces lieux, bien mieux qu'en son propre village natal. S'ils savaient ce qu'il a pu faire étant là-bas, ils le rapatrieraient immédiatement. Alors qu'une bouffée de souvenirs refit soudain surface, il vit les deux bras cassés revenir de leur bataille, esquivant les tables vacantes sur leur passage difficilement. Ils étaient couverts de bleus mais, outre cela, ils étaient déjà à nouveau en train de rigoler à qui mieux mieux entre eux se racontant les meilleurs moments de leurs combats respectifs. Ils s’apprêtèrent à se rasseoir quand, sorti de nul part, surgit le nain que Roméo eut peiné à envoyer au tapis. Il rentra, tête la première, dans les côtes de l'homme en face de lui, qui s'avérait être Nicolas. Etant ivre, il n'esquiva point et se retrouva propulsé en arrière par la force du coup de boule, heurtant au passage quelqu'un d'autre. Sans même payer attention à la personne sur qui il venait d’atterrir, il se releva, jurant contre son agresseur. Sans attendre, lui et Roméo étaient repartis donner quelques salades de phalanges à qui leur causerait des noises. L'elfe remarqua alors la personne au sol qui tentait vainement de se relever. Il avança vers la personne et lui tendit la main pour l'aider à se relever : « Désolé pour l'attitude de mes amis. Ils peuvent agir comme des brutes parfois. » La personne releva un peu la capuche bleu pétrole qui couvrait son visage jusqu'alors, le révélant alors au benjamin du groupe. C'était une jeune femme, très jeune même aux vus de son visage rond et de ses grands yeux bleu azuréens entourés de larges cils bruns. De fins cheveux blonds irisés lui tombait sur le visage tandis que ses lèvres rosées étaient serrées fermement l'une à l'autre. Sa capuche encadrait désormais son fin visage poupin. Elle semblait perdue dans ses pensées. La mystérieuse jeune fille le fixait dans les yeux pourtant, c'est comme si elle ne le voyait pas. Après quelques secondes gênantes, il s'éclairci la gorge pour attirer son attention. Cela la ramena à la réalité et elle secoua vivement la tête et commença à rougir profusément. La jeune fille saisit doucement sa main, incertaine d'elle. Morgan ne fit que la serrer avant de la tirer vers lui pour la redresser. Une fois sur pied, elle rapprocha sa main de sa cape, comme si elle tenait quelque chose contre elle, et, regardant ailleurs, elle murmura un bref remerciement entre deux balbutiements. L'étrange jeune fille baissa alors sa tête et reparti immédiatement vers le bar tout en lâchant un dernier regard à l'elfe. Il n'y fit plus attention. En temps qu'aventurier, il avait déjà vu plus bizarre que cela. Il se réinstalla alors à sa table, sirotant de l'eau de sa gourde en attendant que les deux grands dadais aient fini leur tournée générale. Et quelle tournée ! Ils revinrent, bras dessus, bras dessous, en souriants béatement. Quelques bleus étaient présents sur leur visage mais il n'en avaient cure et continuaient de rigoler en laissant derrière eux le nain qui désormais mordait littéralement la poussière, la tête au sol dans un coin de la taverne. Ils se rassirent et se servirent eux-même une autre chope tandis que le tavernier ne faisait que compter ce qu'ils leur devaient déjà en se frottant les mains à l'avance. Mais son attention était plutôt portée vers la jeune fille devant lui qui n'avait toujours rien commandé depuis son arrivée ici. Tout ce qu'elle faisait était lire et relire les premières pages d'un large livre. Au bout d'un long moment durant lequel personne n'eut recours à lui, le tavernier brisa ce silence faisant sursauter la jeune fille : « C'est un bien beau tome que vous avez là mam'zelle. Où l'avez-vous obtenu ? Elle semblait surprise que quelqu'un s'adresse directement à elle et se retourna pour être sûre qu'il ne parlait pas à une autre personne. Comme s'il pouvait y avoir plusieurs jeunes filles lisant un livre devant lui... - C'est... de famille... Répondit-elle simplement - Vous avez bien de la chance dites donc ! De mon côté, j'ai hérité de l'auberge familiale ! Non pas que ce soit un mal, ah ah ! L'homme derrière le comptoir ne souhaitait pas vraiment finir la conversation mais vu le silence qui recommençait à s'installer, il semblerait qu'elle ne comptait pas s'expliquer d'avantage. C'était presque gênant et tout en nettoyant un verre, il entreprit de continuer la conversation : - Alors... Il parle de quoi ce livre ? - ... Il contient des sorts... et... des incantations... Après cette réponse, toujours aussi directe et simple, il semblait surpris. - Vous êtes mage ? Je n'y aurait pas cru ! - Guérisseuse... Le corrigea-t-elle - ... Il n'y a que des sorts de soin dans bouquin ? J'ai du mal à croire qu'il en existe autant. - Justement. Ce grimoire... Il contient des enchantements de toutes sortes... - Intéressant ! » Coupant court à la discussion, quelqu'un rentra dans l'auberge et se mit devant le tavernier. L'étrange adolescente ferma très rapidement son grimoire avant de le fourrer dans sa cape alors que l'homme qui venait de faire son apparition dans l'auberge demanda assez fort : « Une choppe d'hydromel je vous prie ! - Je m'y hâte mon gaillard ! » L'homme attendit devant le comptoir, rendant la fille encapuchonnée très mal à l'aise. Le tavernier revint alors avec la commande et l'offrit à l'homme avec un grand sourire. L'homme parti s'asseoir dans un coin et son regard se retourna vers l'enfant. Il demanda d'un ton paternel : « Dites mam'zelle, vous voulez quelque chose à boire ? Vous n'avez rien pris depuis tout à l'heure ! Elle baissa d'avantage sa tête et regarda vers le côté, cachant sa gêne. - Non... Inutile de vous déranger... Je ne suis pas une grande fervente d'alcool... - Vraiment ?! Quel dommage. Nous avons le meilleur hydromel de la région sans oublier notre spécialité locale : le cocktail de la fournaise ! - Non... Vraiment... Je n'apprécie pas ce qui est fort... Un nouveau silence se forgea. Pour une fois, ce fut elle qui le coupa alors qu'elle se mordait la lèvre inférieur. - ... Peut-être... de l'eau si vous en possédez un peu... Rien qu'un fond...? - Tout de suite mam'zelle ! » Il accouru lui chercher sa commande. Pour une drôle de raison, elle lui semblait familière. Comme s'il l'avait déjà croisé plus tôt, dans sa jeunesse... Il devait se faire des idées, tout simplement. Il n'empêche qu'il ressentait une grande sympathie pour elle et la voir venir ici toutes les semaines le mercredi soir au comptoir n'avait que renforcé cela. Il revint avec ce qu'elle avait demandé. Elle le remercia doucement et en pris une gorgée avant de s'interrompre. L'adolescente regardait une table ronde où siégeaient trois jeunes hommes. Ces trois compères étaient en plein concours de boisson dont, l'un des leurs, était l'arbitre. Les deux concurrents avaient dans leur main droite un grand godet rempli à ras bord d'un puissant alcool. Ils se regardaient dans les yeux, ne se lâchant pas du regard. Puis, l'elfe qui était la seule personne sobre de la tablée, claqua des doigts, signalant aux deux amis de commencer. Ils n’attentèrent pas et apportèrent le bord de la choppe à leurs lèvres immédiatement ! Les gorgées se suivirent les unes après les autres, soulevant leur pomme d'Adam en même temps que celles-ci descendirent au fond de leur gorge, la brûlant au fur et à mesure que le liquide glissait à l'intérieur. Au bout de dix secondes environ, l'homme paré de noir posa sa choppe fièrement avant de voir devant lui un satyre extrêmement joyeux ayant terminé la sienne bien plus tôt que lui. Une revanche fut vite demandée par le perdant et ils reprirent leur jeu. Elle prit une longue respiration. Elle ne pouvait plus douter. C'était eux... Se levant en tremblant quelque peu, elle posa une bourse sur la table en la poussant vers le tavernier en le remerciant de son accueil. Celui-ci, la salua et retourna à son service. La jeune fille avança alors vers la table ronde où les trois hommes se trouvaient. Elle inspira longuement avant de prendre son courage à deux mains. Sentant quelque chose tapoté son épaule, Roméo se retourna péniblement en grognant après la personne osant interrompre leur partie. C'est avec une voix sèche qui ne lui est pas habituelle qu'il crache : « Quoi ?! Vous ne pouvez pas embêter quelqu'un d'autres, bon sang ?! - Hum... Je... Je... Veuillez m'excuser ! » La femme tentait par tous les moyens de rester calme mais, actuellement, elle était en train de paniquer. Et si ils refusaient, que ferait-elle ? Elle brandit devant elle son grimoire, tel un bouclier, qu'elle semblait porter difficilement avec ses frêles bras. Rougissante, elle semblait sur le point de pleurer, cause d'une timidité maladive. Morgan, qui l'avait aidé à se relever, semblait quelque peu surpris de son intervention. Il ne fit rien paraître et demanda d'une voix se voulant rassurante à la personne qui venait de s'incruster à leur table : « Que pouvons-nous pour vous ma dame ? » Toujours avec cet air innocent qu'il adorait porté pour tromper les gens, Morgan souriait à cette étrange femme. Cette dernière semblait quelque peu soulagée malgré son visage rouge. Elle sortit de son grimoire un papier jaunit par le temps et tendit le document plié avec soin au jeune elfe qui semblait être le plus apte à remplir cette tâche. « Merci, mais qu'est-ce donc... ? » Avant même qu'il ait pu finir sa phrase, l'étrangère avait disparue. Il regardait le papier en ses mains, puis regardait à nouveau devant lui pour être sûr que cela n'était pas juste une hallucination. D'après la texture du papier entre ses doigts, cela n'était pas le cas. Il inspecta un peu mieux le document, qui se trouvait être un parchemin, en le déroulant sur la table, ce qui, au passage, n'était peut-être pas la meilleure idée au monde vu l'état de la dite table. Était présent, sur ce parchemin, une carte de Mire et un drôle de message pour légende qui pouvait plutôt s'apparenter à une signature écrite en une langue qui ne provenait ni du dialecte elfique ni du dialecte mirien, à sa connaissance. Ces amis se relevèrent pour observer l'objet étendu sur le meuble. Alors que le silence commençait à devenir pesant, Nicolas le brisa en demandant de son habituelle voix sarcastique : « ... On peut en tirer combien ? - Si tu veux mon avis, lui répondit Roméo, avec une carte dessinée main, on peut en avoir pour une centaine de pièces d'or. Surtout qu'elle est bigrement bien faite... - Attendez ! Une destination est entourée ! On ne peut pas la vendre si quelque chose est entouré... remarqua Morgan - Effectivement... Le prix risque de baisser... - Pff... Et dire qu'on aurait pu se payer une autre tournée si cette idiote n'avait pas indiqué si clairement cette destination... » Soudain, illumination collective ! Pourquoi cet endroit serait-il indiqué plutôt qu'un autre ? Serait-ce un lieu secret ? Un endroit où nos aventuriers pourraient trouver des pièces par milliers accompagnées de pierres précieuses, armes et armures rares ! Après un regard entendu, presque instantané, nos héros se mirent d'accords : ils devaient se rendre à Fort-Condor dans la région de Froyh pour trouver ce trésor dont ils rêvaient tant ! Même si pour certains, ce trésor se manifeste sous la forme d'armes et d'armures hors de prix (Morgan), sous la formes d'anciens manuscrits interdits de nécromancie (Roméo) ou encore de l'argent, de l'argent et encore de l'argent (Nicolas) ! Il ne fallait plus hésiter ! Pas une minute à perdre ! Ils se relevèrent, toujours aussi saouls qu'avant, vers le comptoir pour payer leurs boissons quand le tavernier les arrêta : « Pas besoin aventuriers. J'ignore pourquoi mais la personne qui vient de sortir a payé les mille trois cent trente-quatre pièces d'or qui étaient sur votre note. Remerciez-la pour ce geste car je ne pense pas que vous ayez l'argent pour payer de toutes manières. » De vifs regards s'échangèrent. Personne ? Payer ? Note ? Mille trois cent trente-quatre pièces d'or ? Rien qu'à l'entendre, ce chiffre fait mal aux oreilles de l'unique humain du groupe. Si cette « personne » leur a épargné de payer cette somme, il est clair que cela devait être leur ami et il devra se souvenir de l'inviter à la prochaine soirée qu'il organisera. En attendant, nos héros sortirent du bâtiment. L'air frais du soir s'engouffrait entre les mailles de leurs légers habits les faisant frissonner. Désormais, ils avaient un but, ils n'allaient plus errer de villes en villes. Désormais, ils avaient une ligne directrice qui les encourageait à aller de l'avant, ne serait-ce que pour pouvoir boire des cocktails de la fournaise gratuitement ! Merci d'avoir lu ! Je vais désormais aller relire Autrui et réécrire avec l'aide de mes amis pour le rendre compréhensible pour vous :)