Une histoire écrite en cours d'allemand /Partie 2/

Vincent en avait marre. Ce matin, il s'était fais collé, et avait été attaqué des dizaines de fois par un espèce d'homme bête. Surtout que Vincent l'avait battu des dizaines de fois, mais à chaque fois qu'il aurait du mourir, c'était une statue de glace qui se brissait. Il avait hésité à rentrer chez lui, mais il s'était dit qu'il mètrerais sa mère en danger. Et c'est bien la dernière chose qu'il voudrait. À sa naissance, Vincent n'avait ni père, ni grand-parents. Sa mère semblait ne pas avoir d'ancêtres mais en grandissant, il pensa qu'elle ne voulait juste pas s'en rappeller. Sa mère n'avait pas de nom non plus. Il l'avait toujours appelé Mère, ou Maman. Elle était grande aux cheveux rouges (pourtant, Vincent était brun). D'ailleurs, ce n'était pas du à une coloration. Mais depuis quelque temps, Vincent avait vu une haine profonde dans son regard. Elle ne lui parlait plus, et le fixerait telle une abomination qui n'as pas de raison d'être. C'est pour ça que Vincent l'évitais. Il en avait peur, même si il pourrait facilement l'envoyer voler à l'autre bout de la ville. Mais elle l'effrayait. Il s'arracha à ses pensées quand "Grizly" tenta à nouveau de l'embrocher. Cette fois, Vincent était décidé, il fallait qu'il retourne chez lui. Il s'élança sur la route, suivi de près par Grizly.

Après une demi-heure de fuite dans Paris, Vincent arriva à son appartement. Étrangement, sa mère était juste en face de la porte. Elle avait l'air d'être furieuse comme jamais :
"Griizilya ! cria t-elle" Quelques secondes après, Grisly débarqua : "Cool, meuf ! T'sais bien que j'piffre pas ce nom !" C'est alors que les deux se jetèrent l'un sur l'autre. Vincent ne sut pas quoi faire. Étrangement, il avait envie d'aider Grisly, mais il ne voulais pas frapper sa mère. Il resta bouche bée devant ce combat. Mais, alors que sa mère allait griller Grizly, au sens littéral, elle avait son bras recouvert de flammes, un trou d'un noir absolu s'ouvrit sous ses pieds. En quelques secondes, sa mère avait disparu, absorbée par le trou. Quand Grizly se releva, il regardait Vincent avec stupeur. "Tu ne travaillait pas avec elle ? T'étais un agent double ? Hé mec ! J'te cause, me fout pas un vent !" Vincent ne savait pas quoi répondre. C'est alors qu'il s'évanouit. Trop d'action pour un jour...


Grisly n'avait pas aimé cette journée. Comme d'habitude, il avait été envoyé tué un nouveau-né du Clan. Mais celui çi l'avait vaincu des dizaines de fois. Ensuite, il avait dû le poursuivre dans tout Paris, pour arrivé contre une maîtresse de feu, et comble du comble, c'était le nouveau-né du Clan qui avait détruit cette maîtresse. Quand il s'était évanoui, il avait hésité à le tuer. Grizly l'avait porté jusqu'au camp. Plus de 50km à pied, Grizly en avait marre. Il avait tout expliquer à Dreck, leur chef. Après une heure de Conseil, le Camp avait décidé de le garder. À priori, ce nouveau-né n'était pas au courant qu'il vivait chez un ennemi du Camp. Mais Grizly se sentait coupable d'avoir essayé de le tuer alors que cet imbécile lui avait sauvé la vie. Grizly se demanda si les précédents nouveaux-nés qu'il avait tué auraient fait la même chose. Soudainement, il eût l'impression d'avoir tué des dizaines d'innocents. Quand le nouveau se réveilla, il murmura un truc du style "Mmmhh pas.. Non... Qu'est..." avant de retourner dans son sommeil. Grizly aussi, aurait voulu dormir, mais il se sentait obligé de rester jusqu'au réveil de l'Abruti... S'il se réveille...

Vincent eût l'impression d'avoir dormi pendant des jours. Il se souvenait vaguement de ce qu'il s'était produit... Mais ce qui surpris le plus Vincent, c'est de voir l'homme bête dormir dans un fauteuil à côté de lui. Maintenant qu'il était calme, Vincent remarqua qu'à c'était plus un ado-bête... Comment s'appelait-il déjà ? Grizyl ? Grizly ? Oui c'était ça. Trop de questions trottaient dans sa tête. Il cria : "Grizly !" Cela réveilla instantanément ce dernier.
"Hein ? Que quoi où ?!
-Excuse moi, lui demanda Vincent, mais tu n'essayais pas de me tuer ?
-Quoi ?! Ah oui. Heu... Désolé..."
Vincent se dit que "désolé" était un peu court pour une tentative de meurtre mais il ne dit rien. Après quelque explication, il parvient à comprendre que le Clan essayer de détruire le monde, et que le Camp l'en empêchait. Qu'ici, chaqu'un contrôlait quelquechose, que pour Grizly, c'était la glace et qu'à priori, pour Vincent c'était les Ténèbres et que ça "déchirait sa mère", pour reprendre Grisly. Il se demanda si c'etait juste une enorme blague... Vincent aurait bien continuer à poser des questions, si un espèce de dragon ne s'était pas posé en plien milieu du camp. Il fixa Vincent et lui dit : "Enfant du Clan que fait-tu ici ?" En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Grizly et lui etaitent entourés de la moitié du camp, avec des types en feu, des en terre, des qui volent, etc. Un homme en feu hurla : "À mort les traîtres !" C'est là que tout dégénéra...